Wiki Guy de Rambaud
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                                  Nicolas II Le Clerc


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Le clerc nicolas

Texte sur la dalle mortuaire de Nicolas II Le Clerc

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Nicolas Le Clerc est un très jeune gentilhomme de la duchesse de Lorraine.

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Son père est fermier général de la baronnie de Ville Dieu.

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Les Le Clerc vivent au manoir de Pont-Bodin.

Nicolas II Le Clerc est né le 6 juillet 1705, à Broussey-en-Blois, à côté de Vaucouleurs. Il est décédé le 8 novembre 1769, rue de Grizon à Villedieu-en-Beauce et est enterré dans l'église, avant que sa tombe soit profanée sous la Restauration[1].


Nicolas II Le Clerc (1705 - 1769) est un membre de la Famille Le Clerc. Selon ses contemporains, il porte une belle figure pleine d'animation et d'expression, pourvu d'intelligence, annonçant de la vivacité, de la gaieté, de la franchise. Nicolas, né dans une famille noble à côté de Vaucouleurs, est d’abord un très jeune gentilhomme de la duchesse de Lorraine, Élisabeth-Charlotte d’Orléans (1676 - 1744), grand-mère de Marie-Antoinette[2], vers 1719. L'abbé Brisset nous dit qu’il se rend ensuite très jeune chez un cousin issu de germain, Claude Guyot, bourgeois de Paris, qui est officier-mesureur de la halle au blé. Il apprend au début des années 1720 le négoce des blés, ce qui va faire par la suite sa fortune en Touraine, aux confins de la Beauce.

Le baron Charles Ruau du Tronchot l'amène à Villedieu-en-Beauce, en 1723. Il a 18 ans et est employé dans les plus bas degrés des services... sans instruction, mais d’une grande intelligence, d’une prodigieuse activité, très soigneux de l’intérêt de ses maîtres. Le Clerc est domestique peu de temps. Le seigneur de la Ribochère confie à Nicolas la charge vacante de Régisseur du domaine de La Ribochère, vers 1724[3]. Cette place est très lucrative dans le temps, comme l'écrit l'abbé Brisset, auteur d'une monographie des Leclerc à Villedieu en Beauce. Le Clerc devient suffisamment riche en tous les cas pour demander à Jean-Baptiste Greuze de faire son portrait et celui de son épouse. Il paie des études et des charges à ses trois fils.

Conseiller fidèle et administrateur intègre par excellence, il exerce cette fonction de régisseur de là terre et seigneurie de La Ribochère et de la baronnie. Puis, au plus tard depuis le 5 juin 1737 jusqu'à sa mort en 1769, il est fermier général de La Ribochère et de la baronnie[4].

Néanmoins même si Nicolas II Le Clerc achète une partie des terres et de belles demeures tout autour de Ville-Dieu, l'abbé Brisset qui est monarchiste, du fait de deux de ses fils révolutionnaires, le voit non respectable.

À sa mort, il est toujours Fermier général des dîmes de la paroisse de Villedieu et Régisseur du château et des terres de La Ribochière, appartenant du marquis de Querhoent (1710 - 1788)[5].

La pierre tombale de son père porte l'inscription suivante :

Ici repose le corps d'honorable homme, Don Nicolas Le Clerc, mort le 8 jour du mois de Novembre, en l'an 1769, qu'il repose en paix[6]. La pierre tombale de Nicolas II Le Clerc, est enlevée par des maçons sur ordre de curés monarchistes du milieu de l'église, pour en faire une marche d'un escalier sur le côté de l'édifice. Cet acte est une vengeance des royalistes sous la Restauration.

Nicolas II Le Clerc (1705 - 1769) se marie avec Renée Rivière (1711 - 1795). C'est une très belle femme, selon les mémoires manuscrites de maître Moreau, notaire du village. Elle est la fille de Yves Rivière, marchand et bourgeois de Thoiré-sur-Dinan, une bourgade à la limite de la Sarthe et du Vendômois[7].

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Villedieu-le-Château.

SA FAMILLE, SES PARENTS[]

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La famille Le Clerc[]

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Alix Le Clerc (1576 - 1622). Affiche : Alix Le Clerc : la Révolution de l'instruction.

Chrétienne

Statue de Chrestienne Le Clerc du Vivier au Musée du Louvre.

Le Clerc Frédéric

Frédéric Le Clerc.

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Jean Leclerc de Pulligny, polytechnicien.

LECLERC DE PULLIGNY IDA

Ida Leclerc de Pulligny, épouse du comte Louis Jouffroy d'Abbans (1851 - 1914), diplomate.

La Famille Le Clerc, ou Leclerc de Pulligny (1355 - 2019), ou Leclerc, appartient d'abord à la noblesse de Lorraine. Ses membres pendant presque sept siècles vont devoir affronter bien des épreuves du fait de leur conversion au protestantisme ou leurs idées révolutionnaires[8].

Quand Saffroy écrit : Les Le Clerc ont perdu leurs titres du fait des guerres de religion, il ne se trompe pas. Effectivement leur grand-père est écuyer, seigneur de Pulligny, Ceintrey, Voinémont, Malaucourt-sur-Seille, Chamagne, Érize-Saint-Dizier, Saint-Dizier... Les frères Le Clerc, dont le père calviniste est mort en exil, mettent leurs épées au service de Venise dans sa lutte contre l'Empire ottoman. La République de Venise les fait Chevaliers de Saint-Marc et le Duc de Lorraine leur confère la noblesse héréditaire, le 28 mai 1623[9]

Comme les fils Leclerc sont révolutionnaires, cette famille est dite par l'abbé monarchiste Paul Brisset, dans La famille Leclerc, de Villedieu en Beauce, la plus obscure et sans fortune[10].

Pourtant, la Famille Le Clerc, est d'origines authentiquement nobles. Ils figurent dans Bibliographie généalogique, héraldique et nobiliaire de la France (Paris, 1968-1988). Une douzaine de pages leur sont consacrées dans Le Calendrier de la Noblesse de Touraine, de 1868, de Carré de Busseroles[11]. François-Alexandre de la Chenaye-Aubert parle d'eux et de leurs alliances, et Badier aussi dans son Dictionnaire de la noblesse. Il figure tout naturellement dans le Nobiliaire de Lorraine et du Barrois d'Ambroise Pelletier, car ils vivent longtemps dans le du Barrois. Nous les retrouvons dans le Grand dictionnaire historique de Louis Moréri, l'Armorial de Rielstrap. Leurs blasons figurent aussi chez Charles René d'Hozier, comme celles de tous leurs familles alliées. De nos jours les Le Clerc sont présents dans différents numéros d’Héraldique et généalogie, et dans Le Nobiliaire de Normandie d'Edouard de Magny. Les lettres de noblesse de leurs ancêtres sont déposées aux archives de la préfecture du département de la Meurthe. À voir aussi sur les Le Clerc :

¤ Comte Doynel de La Sausserie, Postérité de Philippe Louis Thibault de Senneterre, marquis de la Carte et de la Ferté,

¤ d’Armagnac del Cer, comte de Puymege, Les vieux noms de la France du Nord et de l’Est,

¤ Tisseron Annales historiques, nobiliaires et biographiques,

¤ Répertoire des généalogies françaises imprimées du Colonel Arnaud.

Les descendants du très catholique et dévoué aux ducs de Lorraine, puis aux rois de France Pierre Leclerc du Vivier, sont souvent des aristocrates célèbres. On trouve au Louvre (et avant à Versailles) une statue de sa fille, Chrestienne Le Clerc du Vivier, fondatrice du couvent des Carmes-Déchaussés de Charenton. Son tombeau y accompagne la statue de son mari, Robert Bailly (+ 1627), Président de la Chambre des comptes[12].

Mengin Le ClercMoingins dis li clers, nous dit le Trésor des chartes de Lorraine, semble être le premier Le Clerc (ou Leclerc) connu. Mengin Le Clerc, de Deyvittei (Deyviller, Vosges, duché de Lorraine), vend en 1355, à Jean de Nomeny, deux parts en héritages de feu Philippin de Girecourt, écuyer, en la ville de Folz sous le château de Faucompierre, moyennant 26 petits Florins d'or[13].

On a aussi la bienheureuse Alix Le Clerc, qui d'après la Mère Saint-Louis de Gonzague, a comme père, Jean Le Clerc, qui est le fils soit de Claude Le Clerc de Pulligny, soit de Thierry Le Clerc seigneur de Roville-aux-Chênes, à côté d'Épinal, tous deux fils de Mengin II Le Clerc, lui-même fils de Jehan Leclerc de Pulligney et descendant de Mengin Le Clerc.

Bien qu'en famille avec ces Lorrains très catholiques Claude II Leclerc de Pulligny abjure et les Ducs de Lorraine saisissent ses biens. Ses fils, Jean Le Clerc et Alexandre Le Clerc sont faits chevalier de Saint-Marc et doivent recevoir à nouveau une lettre leur conférant la noblesse héréditaire le 28 mai 1623. Jean Le Clerc est aussi un peintre célèbre.

Malgré cela, leurs descendants ne semblent pas avoir été maintenus dans leur noblesse et en 1789, même s’ils ont pour parrains et marraines des membres de la noblesse et du clergé tourangeaux, ils sont très favorables à la Révolution et sont francs-maçons. Claude-Nicolas Leclerc est même député à la Convention nationale. Toutefois, les excès de certains révolutionnaires vont faire que René Leclerc, aïeul de tous les Le Clerc, va protéger la famille du marquis Galiot Mandat de Grancey et rachète leurs biens.

Ses descendants sont faits comtes et peuvent porter le nom de Leclerc de Pulligny. Ils sont alliés à de très anciennes familles nobles et surtout ils sont cliniciens ou ingénieurs et ont des idées en avance sur leur époque.

Avec la mort de Jean Leclerc de Pulligny la famille ne s’éteint pas, comme il est affirmé sur Wikipédia, sans possibilité de rectification. Frédéric Le Clerc est le descendant de Frédéric Le Clerc et il a un frère et des enfants.


Article détaillé : Famille Le Clerc


Ses parents[]

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Blason collesson

Blason des Collesson[14].

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Son père est Procureur fiscal de trois seigneuries à Broussey-en-Blois.

Le Procureur François Le Clerc est fils d'Alexandre II Leclerc. En 1696, Marguerite Thiery, veuve d'Alexandre Le Clerc[15], fait enregistrer ses armes qui sont :

D'azur à trois lions issants d'or, 2 en chef et un en pointe[16].

On trouve dans le même armorial un Charles Thiery, escuyer, sieur de la Cour, capitaine dans le régiment de Saint-Evremond avec le même blason. Les enfants de ce frère sont reçus parmi les gentilshommes élevés à l'école militaire après avoir fait preuve de leur noblesse devant le juge d'armes de France.

François Le Clerc est né en 1684 à Erize-Saint-Dizier (Vavincourt). Il est Procureur fiscal de Broussey-en-Blois, à côté de Vaucouleurs, dans le diocèse de Toul. Ses parents figurent dans l’Armorial de d’Hozier, de 1696.

François épouse Claude de Colllesson, fille de Philippe de Collesson de Lonchamps et Barbe de Reims, fille de Didier de Reims auditeur des comptes et clerc-juré en l'hôtel de S.A.[17]. La dame Claude de Collesson est née dans une famille originaire du Barrois, anoblie le 13 mars 1535[18], qui porte :

D'azur à la bande d'argent chargée de trois croix alaisées d'azur[19].

L’abbé Brisset ajoute à propos des Le Clerc en Lorraine 'qu’ils étaient pauvres et se moque du père procureur fiscal de Broussey-en-Blois, dans le diocèse de Toul, bourg certes peu important, mais il précise tout de même que de lui dépendent trois seigneuries par indivis.

LORRAINE (1719), PARIS (1721), TOURAINE (1723)[]

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Gentilhomme de la duchesse de Lorraine (vers 1719)[]

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Nicolas est d’abord gentilhomme de la duchesse de Lorraine [20].

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Famille de Léopold Ier de Lorraine. Nicolas vit à la cour, mais les courtisans y sont trop nombreux.

Nicolas II Le Clerc est né le 6 juillet 1705, à Broussey-en-Blois, dans le diocèse de Toul :

Nicolas, fils de François Le Clerc et Claude Colleson, ses père et mère a été baptisé le sixième juillet mille sept cent cinq par Charles de Beaufon, curé de Broussey. Son parain a été Nicolas Toussaint Le Fliro, la mareine Agathe Roussel.

L'acte est signé par le curé de Broussey.

Carré de Busseroles précise dans son Calendrier de la Noblesse de Touraine de l'Anjou, du Maine et du Poitou (1868) que Nicolas est d’abord gentilhomme de la duchesse de Lorraine, Élisabeth-Charlotte d’Orléans (1676 - 1744), grand-mère de Marie-Antoinette, ancêtre de tous les Habsbourg vivant de nos jours[21]. Le XVIIIe siècle est une période de faste pour les Beaux-arts dans les duchés de Lorraine et de Bar. La cour de Lorraine vit chaque année des journées ou semaines de gala, comme l’interminable carnaval qui commence le jour des Rois pour s’achever dans la nuit du Mardi-Gras, où opéras et divertissements en musique se succèdent. Les manifestations les plus importantes se déroulent pour la fête des souverains en novembre : le 4, la Saint-Charles, pour la duchesse, et le 15, la Saint-Léopold, pour le duc.

Après la mort du duc, la Duchesse, Madame Royale, s'installe dans sa ville de Commercy, à 18 km de Broussey-en-Blois, le 14 mars 1737. Elle fait entreprendre des travaux au château sous la direction de Jadot, ingénieur et seigneur de Ville-Issey. Elle s'installe là avec une partie de sa cour.

Nicolas II Le Clerc part vers 1720 à Paris, où il a un cousin issu de germain, Claude Guyot, bourgeois de Paris, qui est officier-mesureur de la Halle aux blés. Il apprend le négoce des blés ce qui va faire sa fortune en Touraine, aux confins de la Beauce.

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Nicolas Le Clerc est gentilhomme de la duchesse de Lorraine, qui finit ses jours au château de Commercy, pas très loin de Broussey-en-Blois, son village natal.

Formation chez un officier-mesureur de la halle (1721)[]

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Les anciennes Halles sur le plan de Truschet et Hoyau, vers 1550.

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Nicolas travaille ensuite chez un parent officier-mesureur de la Halle de Paris, mais ce bâtiment n'est pas encore construit.

Brisset nous dit qu’il se rend très jeune chez un cousin issu de germain, Claude Guyot, bourgeois de Paris, qui est officier-mesureur de la Halle aux blés.

Le 16 octobre 1590 on a un Inventaire après le décès de feu noble homme maître Claude Leclerc, en son vivant conseiller du Roi et auditeur en sa chambre des Comptes, demeurant rue Saint-Thomas-du-Louvre, à la requête d'honorable femme Claude Guyot, sa veuve, au nom et comme tutrice de Marie, Jean, Henri et Marguerite Leclerc, enfants mineurs dudit défunt et d'elle, en la présence de noble homme maître Claude Leclerc, conseiller du Roi et auditeur en sa chambre des Comptes, aussi enfant dudit défunt et de ladite veuve, lequel maître Claude Leclerc et lesdits enfants mineurs habiles à se dire et porter héritiers dudit défunt leur père , en la présence de noble homme maître Germain Gouffé, conseiller du Roi et substitut du procureur du Roi, stipulant pour les mineurs jusqu'à ce qu'ils aient un subrogé tuteur, d'autant qu'en procédant ci-devant à l'élection de ladite Claude Guyot comme tutrice, Me Léon Leclerc, procureur au Châtelet de Paris, subrogé tuteur élu par justice, en aurait été déchargé par sentence, sur les remontrances par lui faites entre autres qu'il avait cinq enfants. Lors du décès de Claude Leclerc étaient présents sa femme, son fils Claude, et également Philippe Leclerc, son neveu[22].

Nicolas II Le Clerc s'installe à Villedieu-en-Beauce, en Touraine, vers 1723.

FERMIER GÉNÉRAL DE LA BARONNIE[]

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Un des plus bas emplois dans le service du château (1723)[]

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Assiette des Ruau du Tronchot à décor en camaïeu bleu, au centre, armoiries formées de trois épis et trois étoiles dans un écu surmonté d’un heaume et feuillage cerné de termes et lambrequins feuillagés, feuillages et filet sur le bord. Début du XVIIIe siècle.

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Le vieux château de Villedieu en 1789.

Le Clerc est peut-être remarqué, à la halle au blé de Paris, par Charles Ruau du Tronchot, Fermier Général du Roi.

C'est vers 1723, que M. du Tronchot ramène de Paris un jeune homme du nom de Nicolas Le Clerc. Charles Ruau (1684 - 1729), seigneur de La Ribochère, écuyer, chevalier de l'ordre de Saint-Michel, de l'ordre de Saint-Lazare et de Notre-Dame du Mont-Carmel, commissaire et trésorier des guerres, conseiller-secrétaire du roy, maison couronne de France et de ses finances, intéressé au bail des fermes générales de 1697. Cette dernière charge est d'un grand rapport, et met ce châtelain dans une remarquable position de fortune[23]. Le 2 janvier 1717, le baron paie comme huitième rôle des taxes sur les hommes d'affaires 300.000 livres[24].

Nicolas est un jeune homme portant une belle figure, pleine d'animation et d'expression, pourvu d'intelligence, annonçant de la vivacité, de la gaité et de la franchise. Le baron lui confie selon l'abbé monarchiste un des plus bas emplois dans le service du château[25].

Nous nous étonnons de ses propos. Car s’il est fils de procureur, Nicolas doit certes apprendre la gestion d’un domaine rural, mais doit être quasi-obligatoirement instruit. A cette époque les gens qui savent lire et compter, ancienne gentilhomme de la duchesse de Lorraine ne servent pas comme vacher ou charretier.

D'ailleurs Brisset ajoute :

Ce jeune homme sut capter les bonnes grâces de son maître, et passer rapidement au-dessus de ceux qui peut-être l'ont quelque peu méprisé, alors qu'il était leur inférieur, et se voit installer dans la charge honorable de régisseur du domaine de La Ribochère[26].

Régisseur du domaine de La Ribochère (1724 - 1735)[]

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Château de la Ribochère.

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Villedieu-en-Beauce.

Nicolas Le Clerc succède comme régisseur du domaine de La Ribochère à Maître Pierre-Bernard Souin, sieur de la Savinière, conseiller du roy, et receveur du grenier à sel de Neuvy-le- Roy (22 nov. 1715 - 15 juillet 1716), et à Maître François Hue, sieur du Burloquet (23 mars 1720)[27].

Messire Charles Ruau a trouvé là un bon et fidèle serviteur, et s'il vient à disparaître, sa veuve peut mettre toute sa confiance en son régisseur, et se reposer sur lui des multiples occupations qu'entraîne l'administration d'un vaste domaine.

Messire Charles du Tronchot décède en 1729, âgé de 75 ans. Il laisse une veuve usufruitière de ses biens, et trois filles.

Charles Ruau du Tronchot, fermier général du roi, a aussi son fermier général auquel il afferme ses terres. Ce n'est pas encore Le Clerc qui a 24 ans.

Conseiller fidèle et administrateur intègre par excellence, Le Clerc exerce cette fonction de régisseur de la terre et seigneurie de La Ribochère et de la baronnie. En 1729, quand meurt son bienfaiteur, Charles Ruau du Tronchet, sa femme, Marie Anne l’Epineau, ne fait que le maintenir dans ses fonctions. Mais désormais la vie de cette famille noble et relativement puissante repose sur lui.

Fermier général de La Ribochère et de la baronnie (1735 - 1769)[]

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Le Clerc est fermier général de La Ribochère et de la baronnie de Villedieu-en-Beauce.

D’ailleurs, les qualités de Nicolas Le Clerc font que la baronne lui confie la charge vacante de fermier général de la baronnie de Villedieu, en 1735. Il a 30 ans. Il va le rester jusqu'à après le 22 septembre 1751[28][29]. D’ailleurs, Le clerc sait merveilleusement faire appliquer les lois et gérer en tant que Fermier Général la baronnie, et cette tâche demande des connaissances importantes.

En décembre 1753, la baronne, Marie-Anne de Lepineau, décède. L'intègre Le Clerc reste Receveur des filles de M. et Mme Ruau du Tronchot et le receveur général des dîmes de la baronnie de Ville Dieu en Vendômois[30].

Car les trois filles du baron et de la baronne, en 1758 n'ont encore fait nul partage depuis le décès de leur mère. Elles semblent même s'en désintéresser, car les registres paroissiaux ne font aucune mention de leurs noms. Elles doivent se reposer aveuglément, pour l'administration, sur le fidèle régisseur qu'est Nicolas Le Clerc, et se contenter de toucher les dîmes seigneuriales que leur paie leur fermier général Nicolas Belle[31].

Sur les trois filles deux restent propriétaires de la Ribochère. La troisième, la baronne de Courchamps, laisse sa part d'héritage.

Les deux propriétaires vendent le château et les terres.

Louis Joseph de Querhoent-Kerhoent achète La Ribochère (1758)[]

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Gravure du château de Kergournadec'h. Olivier de Kerhoent est seigneur de Kergournadec'h († après 1594).

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La marquise de Querhoent est guillotinée en 1794. Les crimes des révolutionnaires font peur aux fils de Nicolas.

L'acquéreur est Louis Joseph de Querhoent. Il entre en possession de la terre de la Ribochère et château, de la baronnie de Villedieu y compris du bail emphytéotique.

Louis Joseph de Querhoent est dit Très Haut et Très Puissant Seigneur messire Louis-Joseph de Querhoent, marquis de Querhoent, brigadier des armées du Roy, chef des brigades de la gendarmerie, demeurant à Paris, rue du Cherche-Midy, quartier Saint-Germain-des-Prez, paroisse Saint-Sulpice[32].

Pour la somme de 130,000 livres, il entre en possession de la terre de La Ribochère en Vendomois, y compris toutes les terres et biens, droits d'échange, charges, offices et autres biens et droits qui appartiennent aux dites dames dans l'étendue de la baronnie de Villedieu, outre toutefois la maison que la dame du Tronchot, leur mère, avait destinée pour logement du chapelain et des sœurs grises, qui en est exceptée. Dans la vente était également compris les droits de chapelle dans le château et autres droits réels et honorifiques, plus le droit de nomination du chapelain qui célèbre la messe dans le château de La Ribochère et finallement tous les calices, burettes, bassins, linges et autres ornements de la chapelle[33].

L'acquisition de ce domaine se fait devant les Notaires de Paris. Ce changement ne trouble en rien l'existence de Nicolas Le Clerc. Il fait partie de la terre, et les anciens propriétaires peuvent donner au nouveau propriétaire, avec toutes leurs autres garanties, celle de l'honnêteté de leur régisseur.

On ne connaît pas la nature de ses rapports entre Le Clerc et le marquis de Querhoent (1710 - 1788), d’une très ancienne et illustre famille de Bretagne[34]. Ils sont certainement très bons, car il abandonne sa charge de Fermier Général et de régisseur à un neveu de sa femme, Louis Donet, et le marquis approuve son choix. Mais il reste fermier général des dîmes jusqu'à sa mort.

Le 5 juillet 1758, Villedieu, La Ribochère, Montoire et Savigny entrent en possession du couple Louis Joseph de Querhoent et Dame Félicité de Lopriat de Donges. Ils créent un lieu d'apprentissage à Villedieu pour drapiers et tisserands. Dans la perception des droits seigneuriaux qui lui sont attribués, si la personne est dans le besoin, il se fait un devoir de lui faire la remise de tout ou partie de la somme[35].

LE CLERC APRES 1758[]

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Ses fils[]

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Le collège des Oratoriens de Vendôme, où ses fils font leurs études.

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Son fils, Claude-Nicolas Leclerc est d'abord avocat au Parlement de Paris, puis député.

Nicolas, devenu négociant en blés, est aussi trésorier du Roy et comme il est vraiment riche, lui et sa femme se font peindre par Greuze (1725 - 1805). Leurs enfants sont portés lors des baptêmes par des membres de l’aristocratie tourangelle, certainement du fait de ses origines nobles.

Leurs enfants ont un précepteur[36].

Le Clerc, comme doit le reconnaître le notaire Moreau est aimé, respecté et très considéré de tout le monde, on le regardait comme un père, un ami, un bienfaiteur.

Les trois fils de Nicolas Le Clerc grandissent vite. Ils font d'excellentes études au collège des Oratoriens de Vendôme[37]. Ils étudient beaucoup, mais Nicolas se rend compte que les aînés ont un caractère très colérique. Très jeunes, ils contestent l’ordre établi. Brisset nous dit qu’il prenait plaisir à humilier ses enfants dans les sociétés où ils se trouvaient, dans l'espoir de les corriger. Nous sommes à la fin du XVIIIe siècle, les idées des philosophes et des loges maçonniques amènent les hommes instruits à se poser des questions.

Nicolas II Le Clerc peut payer grâce à son négoce des grains de longues études à ses enfants et une charge à son cadet, car il est de plus en plus riche. D’ailleurs, même, Moreau, un notaire, qui finira maire de Villedieu sous la Restauration et qui écrira sur la Famille Le Clerc des propos plus que partiaux ne peut que l’admettre :

Messire Le Clerc, né sous la plus heureuse étoile en avançant en âge, avait la satisfaction de voir grossir sa fortune. Il se livra à des spéculations sur les grains qui lui furent avantageuses.

Sa maison[]

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Sa maison rue de Grizon, où lui et sa femme décèdent.

Le Clerc habite alors avec sa femme l'importante maison qu'il a achetée, proche de 'église, et dont l'entrée principale donne sur la rue de Grizon.

Sa longue et ombreuse charmille qui longe le coteau du nord au midi, et d'où la vue s'étend sur les prairies du Niclos naissant, en fait un délicieux séjour. Entre ses arbres, on aperçoit au midi la source gracieuse et tranquille de Bouillant qui surgit sous ses noisetiers, et l'antique et plus de six fois séculaire chapelle de St-Laurent, entourée de son cimetière délaissé depuis un quart de siècle après avoir servi de sépulture à des milliers de chrétiens[38].

En tournant les regards vers le nord-ouest, on aperçoit l'église paroissiale et à sa gauche le vieux prieuré fortifié de St-Jean-Baptiste que domine le clocher de son élégante chapelle restaurée au cours du XVIe siècle. Enfin à quelques mètres, en bas, tout en face, à portée de la voie, c'est la demeure du curé[39].

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Retable de Villedieu-le-Château.

SA FIN DE VIE[]

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Villedieu-le-Château. Ruines du Prieuré Saint-Jean-Baptiste.

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L'église devant la mairie de Villedieu. Sa pierre tombale profanée sert de marche à une entrée sur le côté de l'église.

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Il n'y a pas que sa pierre tombale qui est profanée. La chapelle Saint-Laurent qui contient les restes de deux de ses fils est détruite par des monarchistes fanatiques.

Au bourg de Villedieu, lors des fêtes de famille de juillet 1769, Messire Nicolas Le Clerc, le fermier général de la baronnie de Villedieu, vit encore. Il jouit en paix, comme bourgeois, d'une fortune honnêtement acquise dans l'administration et le commerce des grains qu'il continue jusque dans ses dernières années[40].

À sa mort, Nicolas est toujours Fermier général des dîmes de la paroisse de Villedieu et Régisseur du château et des terres de La Ribochière, appartenant du marquis de Querhoent (1710 - 1788)[41].

Nicolas Le Clerc décède le 8 novembre 1769 à Villedieu, et on place son corps dans l'église de Villedieu-en-Beauce. Sa pierre tombale porte l'inscription suivante :

HIC JACET

CORPVS MRI

HONORABILI [S]

DOM. NICOLA [I]

LE CLERC

MORTVI 8

DIE MENSIS

OBRI ANNO

1769

REQVIESCAT

IN PACE

Traduction de l'épitaphe :

Ici repose le corps d'honorable homme, Don Nicolas Le Clerc, mort le 8 jour du mois de Novembre, en l'an 1769, qu'il repose en paix[42].

Sous la Restauration, la pierre tombale de Nicolas II Le Clerc, est enlevée par des maçons sur ordre de curés monarchistes du milieu de l'église. Elle sert de jambage au mur de la petite porte de cette église (en face de la mairie). Cet acte est une vengeance des royalistes extrémistes. L’abbé Brisset, en polémiste acharné, ose mettre en doute l’adjectif honorabilis concernant cet homme, qui pendant plus de trente ans administre merveilleusement bien les terres des seigneurs du lieu, et qui est un Fermier Général tellement conciliant et habile qu’il évite les procès avec ses administrés, mais aussi un bon chrétien dont un des fils devient abbé et qui toute sa vie donne une partie de son argent aux pauvres. Le père d’un député de la Ire République et aussi

SA FEMME ET LEURS ENFANTS[]

Blason rivière

Blason des Rivière.

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Paysans et jeune bourgeoise devant les caves troglodytes du petit manoir de Pont-Bodin, où ses fils sont nés.

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Château des Pins qui va devenir la propriété des Leclerc.

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Augustin Leclerc, frère de Luc Leclerc, organise le retour de Napoléon aux Tuileries.

Nicolas Le Clerc se marie avec Renée Rivière, le 7 octobre 1737, à Villedieu. Les Rivière sont des bourgeois et des marchands de Thoiré qui portent : D'or chargé de deux rivières au nature[43]. L'abbé fanatique et très méprisant auteur de La famille Leclerc, de Villedieu en Beauce' ne manque pas d’ajouter que c'était une très belle femme, mais elle avait à la Ribochère un modeste emploi.

Le jeune couple, domicilié au château de la Ribochère, va vivre peu de temps après son mariage au manoir de la famille Bigot de Pont Bodin, ses anciens châtelains, grâce à la baronne Ruau du Tronchot.

Pendant des années, ses deux fils révolutionnaires, mais aussi célibataires endurcis, dirigent les activités des Jacobins de la région de chez la citoyenne, leur mère

Le 28 Floréal An III (17 mai 1795), Renée Rivière, sa veuve, décède entre 11 heures et midi, en son domicile, rue de Grison. Elle a 85 ans. On ne sait rien des causes de son décès. Un de ces fils est présent lors de son décès.

Le couple a cinq enfants, dont trois survivent à l'enfance :

· Claude-Nicolas Leclerc, avocat au Parlement de Paris, accusateur public, député, s.p.


Article détaillé : Claude-Nicolas Leclerc


· Louis Joseph Leclerc, Supérieur de la Congrégation des prêtres de l'Oratoire, oratorien fameux par son érudition, supérieur de plusieurs collèges importants. Il devient apostat de marque à tous les partis qu'il semble servir avec conviction[44]. C'est un apôtre des idées nouvelles à Paris et dans le Vendômois. Il est élu juge au tribunal de première instance de Vendôme (1792). Dans le verger du moulin du Boisneuf, Louis Joseph Leclerc organise, en 1792, le brûlement des titres féodaux et d'autres archives du village[45]. Joseph Louis Leclerc devient un combattant fin 1793 contre les Vendéens qui sont au Mans et pendant des années il traque les Chouans. Il est cité comme un défenseur de la République menacée dans le livre de l'abbé Maitais Vendôme sous la Révolution. Leclerc est dirigeant du comités de surveillance et maire de Villedieu en Beauce (1795). Le 17 mai 1800, Joseph Louis Leclerc est nommé juge au tribunal de Vendôme. Leclerc a comme médecin, son neveu, Luc Leclerc qui habite au château des Pins. Il revient à la religion, d’après Brisset. Mais l’a-t-il quittée ? Il est décédé le 15 octobre 1811 à Villedieu en Beauce, d’une crise de goutte remontée au cœur, comme ses deux frères avant lui, et il est enterré dans la chapelle Saint Laurent avec eux, qui va être profanée et détruite par les monarchistes.

· René Leclerc, Receveur, régisseur, propriétaire du château des Pins, maire, d’où descendance.


Article détaillé : René Leclerc


. Marie Anne Jeanne Le Clerc est née le 26 décembre 1739 à Villedieu en Beauce. Elle meurt le 25 juillet 1740 à Villedieu en Beauce, âgée de quelques mois. Son parrain est Jean Relard, sieur de la Grange, et sa marraine Anne Rivière, sa tante maternelle.

. François René Clément Le Clerc est né le 15 octobre 1743 à Villedieu en Beauce et baptisé le 28 de ce mois là. Il meurt en 1745 à Villedieu en Beauce. Son parrain est messire Jean Pierre Charles Guillemin, baron de Courchamps], originaire de Champagne, maître des requêtes, mari d’Anne Ruau du Tronchet, fille cadette des barons du lieu.


NOTES ET RÉFÉRENCES[]

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. La famille Leclerc, de Villedieu en Beauce / Paul Brisset in Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois, 1915 ([01/01/1915])

. La famille Leclerc, de Villedieu en Beauce / Paul Brisset in Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois, 1915 ([01/01/1915])

. La famille Leclerc, de Villedieu en Beauce / Paul Brisset in Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois, 1915 ([01/01/1915])

. La famille Leclerc, de Villedieu en Beauce (Suite p. 240-247) / Paul Brisset in Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois, 1914 ([01/01/1914])


  1. L'enfance de Nicolas Le Clerc, La famille Le Clerc de Villedieu en Beauce.
  2. Carré de Busserolle, Jacques-Xavier (1823-1904) Calendrier de la noblesse de la Touraine, de l'Anjou, du Maine et du Poitou, publié par J.-X. Carré de Busserolle,... 1867 (-1868) Tours : au bureau de la publication, (1867-1868).
  3. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois : 1912.
  4. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois : 1912.
  5. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois, Devaure-Henrion libraire (Vendôme), 1913 (T52), p.154.
  6. L'enfance de Nicolas Le Clerc, La famille Le Clerc de Villedieu en Beauce.
  7. Armorial général de la Touraine ; précédé d'une notice sur les ordonnances, édits, déclarations et règlements relatifs aux armoiries avant 1789. Tome 18, publié par la Société archéologique de Touraine, Carré de Busserolle, Jacques-Xavier (1823-1904). Impr. de Ladevèze (Tours) : 1866-1867.
  8. Éloge de M. Leclerc,... dessinateur et graveur ordinaire du Cabinet du roi ; avec le catalogue de ses ouvrages, et des réflexions sur quelques-uns des principaux, Pierre Le Lorrain de Vallemont. 1715.
  9. Éloge de M. Leclerc,... dessinateur et graveur ordinaire du Cabinet du roi ; avec le catalogue de ses ouvrages, et des réflexions sur quelques-uns des principaux, Pierre Le Lorrain de Vallemont. 1715.
  10. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois, 1915.
  11. Carré de Busserolle, Jacques-Xavier (1823-1904) Calendrier de la noblesse de la Touraine, de l'Anjou, du Maine et du Poitou, publié par J.-X. Carré de Busserolle,... 1867 (-1868) Tours : au bureau de la publication, (1867-1868).
  12. Chrétienne Leclerc (+ 1627)
  13. Le département de Vosges: description, histoire, statistique, Volume 6, Léon Louis, E. Busy, 1887.
  14. Nobiliaire, ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, en forme de Dictionnaire, etc. où se trouvent les armes gravées, etc. Tome premier, contenant les annoblis, Ambroise PELLETIER, 1758.
  15. Armorial général de la Touraine ; précédé d'une notice sur les ordonnances, édits, déclarations et règlements relatifs aux armoiries avant 1789. Tome 18, publié par la Société archéologique de Touraine, Carré de Busserolle, Jacques-Xavier (1823-1904). Impr. de Ladevèze (Tours) : 1866-1867.
  16. Armorial manuscrit de Lorraine p.22. Figure dans l'Armorial Général de France de d'Hozier (Lorraine-Bar-page 5 n°106.
  17. Armorial général de la Touraine ; précédé d'une notice sur les ordonnances, édits, déclarations et règlements relatifs aux armoiries avant 1789. Tome 18, publié par la Société archéologique de Touraine, Carré de Busserolle, Jacques-Xavier (1823-1904). Impr. de Ladevèze (Tours) : 1866-1867.
  18. Nobiliaire, ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, en forme de Dictionnaire, etc. où se trouvent les armes gravées, etc. Tome premier, contenant les annoblis, Ambroise PELLETIER, 1758.
  19. Carré de Busserolle, Jacques-Xavier (1823-1904) Calendrier de la noblesse de la Touraine, de l'Anjou, du Maine et du Poitou, publié par J.-X. Carré de Busserolle,... 1867 (-1868) Tours : au bureau de la publication, (1867-1868).
  20. Carré de Busserolle, Jacques-Xavier (1823-1904) Calendrier de la noblesse de la Touraine, de l'Anjou, du Maine et du Poitou, publié par J.-X. Carré de Busserolle,... 1867 (-1868) Tours : au bureau de la publication, (1867-1868).
  21. Carré de Busserolle, Jacques-Xavier (1823-1904) Calendrier de la noblesse de la Touraine, de l'Anjou, du Maine et du Poitou, publié par J.-X. Carré de Busserolle,... 1867 (-1868) Tours : au bureau de la publication, (1867-1868).
  22. GUYOT Claude x LECLERC Claude
  23. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois : 1912.
  24. Journal de la Régence, 1715-1723, publ. par E. Campardon, Louis Émile Campardon 1865.
  25. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois : 1912.
  26. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois : 1912.
  27. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois : 1912.
  28. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois : 1912.
  29. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois, Devaure-Henrion libraire (Vendôme), 1913 (T52).
  30. La famille Leclerc, de Villedieu en Beauce, Paul Brisset, Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois, 1914, p.208.
  31. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois : 1912.
  32. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois : 1912.
  33. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois : 1912.
  34. Carré de Busserolle, Jacques-Xavier (1823-1904) Calendrier de la noblesse de la Touraine, de l'Anjou, du Maine et du Poitou, publié par J.-X. Carré de Busserolle,... 1867 (-1868) Tours : au bureau de la publication, (1867-1868).
  35. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois : 1912.
  36. La famille Leclerc, de Villedieu en Beauce / Paul Brisset in Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois, 1914, p.305.
  37. La famille Leclerc, de Villedieu en Beauce, Paul Brisset, Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois, 1917, p.205.
  38. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois. Éditeur : Vendôme 1914.
  39. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois. Éditeur : Vendôme 1914.
  40. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois. Éditeur : Vendôme 1914.
  41. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois, Devaure-Henrion libraire (Vendôme), 1913 (T52), p.154.
  42. L'enfance de Nicolas Le Clerc, La famille Le Clerc de Villedieu en Beauce.
  43. Répertoire des généalogies françaises imprimées du Colonel Arnaud
  44. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois : 1912.
  45. Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois : 1912.

  

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