Wiki Guy de Rambaud
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                               Mottet de Molières


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Blason de mottet

Blason des Mottet : d’azur à trois bandes d’argent au chef cousu de gueules chargé de trois losanges aussi d’argent.

Mottet de Molières. L’Histoire héroïque et universelle de la noblesse de Provence nous dit que la famille Mottet de Tarascon est noble.

Dans Etat de la France, dans lequel... le Comte de Boulainvilliers remarque que la famille noble de Tarascon Motet y subsistoit dès l'année 1287[1]. L’Etat de la Provence, de Dominique Robert de Briançon, étudie cette famille et confirme ces écrits :

La famille de Mottet de la ville de Tarafcon, eft une des plus anciennes de cette Ville, & elle conferve encore les provifions de la Commanderie de Bourdeaux qui fut donnée le 18 de Novembre de l'an 1417 à Galiot Mottet ou Moutet (après 1351 - après 1417), chevalier de Rhodes.

Les Memoires dressez par les Intendans du Royaume, par ordre du Roi écrivent :

Motet, originaire de Tarascon dans la Viguerie de Sisteron subsiste dès l'année 1297[2].

L'Intendance de Provence à la fin du XVIIe siècle précise que :

La famille de Mottet de la ville de Tarascon est une des plus anciennes de la ville. Elle a donné plusieurs chevaliers de Malte[3].

Les Seigneurs de Molières, à Tarascon, sont une branche de cette famille provençale des Mottet (Arles, Tarascon, Toulon, Marseille... )[4].

Jean Mottet (ca 1505 Tarascon - après le 9 juin 1561 Tarascon) est à l’origine des Mottet/Mouttet de la branche de Molières. Après Jean de Mottet (après 1660 Tarascon - après 1692 Aix-en-Provence), Procureur aux comptes, cette branche tombe en quenouille (passée, par héritage, en la possession d’une femme).

Aamol2

Le Comte de Boulainvilliers remarque que la famille noble de Tarascon Motet y subsistoit dès l'année 1287[5].

LES PREMIERS SEIGNEURS DE MOLIERES[]

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Jean Mottet de Molières (ca 1505 Tarascon - après le 9 juin 1561 Tarascon)[]

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Aamol5

Porte de la Condamine à Tarascon.

Blason d'Aimini

Blason d'Aimini.

Aamol6

La famille d’Yse, d’après Nostradamus, est originaire d’une paroisse appelée Yse, de la comté et de l’évêché de Nice, bâtie sur un rocher au bord de la mer en Provence.

Blason d'Yze

Blason des Yze.

Ajm21

Pont de barques entre Beaucaire et Tarascon.

Noble Jean Mottet, Mottet, le jeune ou le petit est né vers 1505 à Tarascon et décédé après le 9 juin 1561 Tarascon. Il est à l’origine des Mottet/Mouttet de la branche de Molières. Comme l'écrit Mistral, Mottet/Mouttet est un nom de famille provençal.

On a une Commission du sr de St Rémy qui subroge Jean Mouttet pour faire la susdite levée de 100 hommes, du 1er septembre 1536[6].

On a le mariage de noble Jean Moutte, le jeusne, fils de Jacques, avec noble Catherine (après 1516 – avant 1545), par contrat du 4 décembre 1538, signé Candeleri, notaire‎[7]. La noblesse des Aimini est connue depuis le XIIIe siècle. Pierre Aymini, chevalier et citoyen d’Avignon, vers 1269 épouse Raymondette Bérenger, de Tarascon. De cette union naissent deux fils : François-Bertrand, qui devient général des troupes du roi Robert le Sage, et Bertrand Aymini, qui est nommé à l’évêché d’Avignon en 1300, peu après le mois de mai. Les Aymini jouissent des privilèges des nobles et obtient des lettres de noblesse du roi René le 9 avril 1470, à Marseille. Leur blason est : Echiqueté 12 pièces, de sable, et d'or, les six de sable, chargées d'un besant d'or.

On a des Lettres patentes du roi François en faveur du sieur Boniface de la Molle, pour faire une levée de mil hommes, avec la commission, au bas, du sr de la Molle, capitaine, à Jean Mouttet, pour en lever autant qu'il pourra, affin d'accomplir sa bande, des 28 juillet 1541 et 28 mai 1542[8].

On a le mariage de noble Jean Mottet, le jeune, avec demoiselle Guillaume d'Ize (après 1508 - après 1561), du 18 aoust 1545, receu par me Jean Jacques, dud. Tarascon[9]. Selon 'L'armorial de Dauphiné : contenant les armoiries figurées de toutes les familles nobles & notables de cette province, accompagnées de notices généalogiques complétant jusqu'à nos jours les nobiliaires de Chorier et de Guy Allard, Rivoire de La Bâtie, Gustave de : Cette famille du Dauphiné porte : D'argent, au lion de gueule, à la bande d'azur chargée en chef d'une fleur de lys d'or, brochant sur le tout. On prétend que cette famille est originaire de Nice, où se trouve le château d'Yse. La famille d’Yse, d’après Nostradamus, est originaire d’une paroisse appelée Yse, de la comté et de l’évêché de Nice, bâtie sur un rocher au bord de la mer en Provence. En 1238 leur terre est incluse dans le dénombrement, partie cinquae des terres de la Comté. En tête de leur arbre généalogique, en 1245, on trouve deux frères, Rostang et Ferrand de Ysia, affublés des titres de Seigneurs de Monaco, de la Turbie, de Berre, et d’Ysia. Par deux fois, en 1247, à une date non précisée, et le 24 février, ces deux frères font hommage de ces terres à Charles Ier d’Anjou, qui porte le titre ronflant de Roy de Naples et de Sicile, Comte de Provence. En 1271, le 24 janvier, ils prêtent hommage à Nice, et se fixent en leur manoir d’Eze[10].

Promesse faite par le capiscol de Nîmes (Doyen), Guillaume Bellon, à noble Jean Motet, de Tarascon, de le relever indemne d'un emprunt en 1558[11].

On a le testament de noble Jean Mouttet, plus jeusne, par lequel il institue Jean Mouttet, son fils aisné, et faict des légats à Martin et Rostang, ses autres enfans, auxquels il substitue, en cas de décès, Jean et Guilhen, ses frères, du 9 juin 1561, receu par me Teissier, notaire[12].

On a l'Inventaire des biens de noble Jean, le petit, faict à la requeste de demoiselle Guillaume d'Ize, sa vefve, par lequel apert qu'icelluy Jean, le jeusne, a laissé quatre enfans, scavoir : Jean, Martin, Rostang et Louis t que Jean et Guilhaume, frères du susd. deffunct, ont esté appelés pour estre tucteurs desd. pupilles, comme oncles paternels d'iceux, du 9 juin 1561, signé Demousac, notaire et greffier de la cour royalle de Tarascon[13].

Jean Mottet (ca 1505 Tarascon - 9 juin 1561 Tarascon) a trois jeunes demi-frères Martin, et Louis, nés de demoiselle Guillaume d'Ize, sa belle-mère qui sont décédés jeunes.

Jean II Mottet de Molières (1539 - 1591)[]

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Aamol2

Le château du Roi René fait partie d'un ensemble de fortifications qui défendent Tarascon.

Blason raoulx

Blason Raoulx : d'or, à la croix pattée de sable, bordée de gueules. Languedoc Provence.

Aamol1

Hôtel à Tarascon des Raoulx.

Aamota10

Ruines du Mas des Mottets ou des Moutets entre Tarascon et Arles[14].

Jean Mottet de Molières est né après le 4 décembre 1538, à Tarascon, et décédé début 1591 à Tarascon. Il est escuyer. Il semble qu'il s'agit ici de Jean Moutet, fils de noble Jean de Mottet et de Catherine d'Aymini mariés en 1538, institué héritier de son père en 1561 ...[15].

Le Livre de raison de Jean de Mottet, de Marseille et Aubagne, 1573-1607 nous dit que Jean Mottet, est institué héritier de son père en 1561[16].

On a un Certifficat du trézorier payeur de la compagnie d'hommes d'armes du sr comte de Tende, comme quoi Jean de Mouttet, sr de Mollières, a esté archer de ladite compagnie et couché sur le rolle du roy, du 2 mars 1582[17].

Jean de Mottet, sieur de Molières, écuyer, fils de noble Jean de Mottet et de la demoiselle d'Ize, épouse demoiselle Marie de Raoulx, par contrat du 9 novembre 1584, signé Thoro, notaire. Marie de Raoulx, d’une famille sortie suivant La Roque des Radulphe de Florence, du 9 novembre 1584, signé Thoro, notaire. Son beau-père, Thomas, est juge d’Arles en 1525 et juge de Tarascon en 1548. Sa belle-mère est Françoise de Léautaud. Les Raoulx portent : d'or, à la croix pattée de sable, bordée de gueules. Marie de Raoulx est d’une famille sortie suivant La Roque des Radulphi de Florence.

Raimond Radulphi étoit commandeur de S. Christol le 27 Mars 1346. Guillaume Radulphi épousa Marthe de Sommatre, & luj reconnut sa dot le 26. Sept. 1448. Jacques Radulphi , Confgr, de la maison consulaire de Tarascon, au rang des nobles assista aux conseils tenus les 15 & 22. Fev. 1449. Guigue Radulphi t. le 4. Juil. 1473. & fut pere de Jacques Raoulx ...[18].

L'hôtel de Raoulx-Laudun est situé dans le quartier de la Condamine, à l'extrémité orientale de la ville. Ce quartier est occupé par une seule famille, les Raoulx ou Raousset, qui ont la volonté de marquer le paysage urbain tarasconais en organisant autour de la place de la Condamine une enfilade de maisons imposantes. L'édifice d'origine est construit au XIVe siècle, contre les remparts nord, formant un L autour d'une cour intérieure ; il subsiste deux plafonds à poutres apparentes avec solives et couvre-joints caractéristiques de cette période. La famille de Raoulx acquiert cet édifice au milieu du XVIIe siècle et l'agrandit[19].

On a une lettre missive du roi Henri IIII au sr Rostain de Mottet, au bas de laquelle est écrite de sa main :

Assurez vous toujours de mon amitié, je vous prie, du dernier juillet 1584[20].


On a une Sauvegarde de M. le duc de Montmorency en faveur de Jean de Mouttet, sr de Mollières, du 8 juillet 1586[21].

En 1591, le Conseil de Tarascon délibère de faire une trêve avec les ennemis pour procéder aux semailles. La ville ne pouvant subvenir aux grandes dépenses : logement des gens de guerre, réparations aux fortifications, députe auprès du Roi les sieurs de Mottet et de la Grange pour obtenir des soulagements[22].

Marie de Raoulx, veuve, se remarie avec Jean Bérenguier, de Tarascon, le 30 avril 1591. Jean Mottet de Molières décède donc tout au début de l'année 1591.

Rostan de Mottet de Molières (1587 - 1659)[]

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Aamol3

Allégorie de la trêve de 1609 entre l'archiduc d'Autriche et les Etats des Pays-Bas du Nord. Rostan de Mottet, comme un certain nombre de nobles français est du côté du Prince d'Orange, dont l'épouse est fille d'un cousin du roi Henri IV de France.

Aamol14

Certains Georges sont barons de Ledenon, d'autres chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem.

Aamol9

Les Mottet, extrait de L'Etat de la Provence, contenant ce qu'il y a de plus remarquable ....

Aamol

Ruines du Mas des Mottets entre Tarascon et Arles.

Rostan - ou Rostaing - de Mottet (après 9 novembre 1584 Tarascon – après 1660), écuyer, sert le comte d'Orange, un protestant[23]. Il existe un Passeport du prince d'Orange et congé à Rostaing de Mottet pour avoir bien servy aux provinces unies du pays, dans la compagnie de M. de Chastillon avec son congé, des 12 et 13 juin 1609. On peut en déduire que Rostan de Mouttet combat dans le camp protestant, notamment aux Pays-Bas et revient en Provence, terre très catholique, comme sa famille.

On a le mariage de noble Rostan de Montet, ecuier, fils d'autre noble Jean, sr de Mollières, à Tarascon avec demoiselle Jeanne de Georges, par contrat du 6 novembre 1609, signé Russel, notaire de Nîmes. Dlle Jeanne de Georges fille de noble Olivier sgr de Fons et de Jeanne de Besserier[24].

Le 27 septembre 1581 on a le contrat de mariage de Olivier de Georges, ecuyer, seigneur de Fons-sur-Lussan fils de feu Robert, sgr de Tharaux avec dlle Loyse de Besserier, fille de feu Tannequin, conseiller au présidial et d'Anne de Suau[25].

Olivier de Georges est parent de Jacques cité le 28 octobre 1547 dans l'Histoire des chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem[26]. Seigneur de Fons en Languedoc, il est aussi cousin des Georges barons de Ledenon qui portent : De gueules, à une fasce d'argent, chargée d'un cœur de gueules, accompagné de 3 étoiles d'argent.[27]. Cette famille est acceptée au niveau des Preuves de Malte en Languedoc, Pièces fugitives par le Marquis d'Aubaïs, Tome 3.

François de Georges d'Aramon, Baron de Lédenon, fils de noble Louis de Georges, Seigneur de Taraut, Baron de Lédenon, frère puîné de Henri de Georges, tué, en 1621, à l'attaque du bastion de Montpellier, étant Gouverneur de la Ville de Blaye, grand Sénéchal de Guyenne , & commandant en cette occasion le Régiment de Normandie.

Rostan de Mottet est déclaré insolvable après 1633 Arrests notables de la Cour de Parlement de Provence, cour des…, Volume 4, Hyacinthe de Boniface. On demande en 1641 à sa femme de payer les dettes de son mari[28].

Le Livre de Raison pour Noble Olivier de Mottet du premier septembre mil six cent cinquante neuf nous dit que :

Premièrement ledit jour premier septembre 1659 noble Roustan de Mottet mon feu père est décédé ab intestat âgé de soixante douze ans et six mois environ l'heure de midi avant été attaqué d'une apoplexie entre six et sept du matin il n'a point été surpris d'une mort si soudaine puisqu'il se préparait de bien mourir de longue main se confessant et communiant toutes les semaines et même le samedi avant sa mort qui arriva le lundi il s'était confessé et communié dans l'église des RR Pères de la doctrine chrétienne et ce petit mémoire servira de consolation pour ses successeurs. Plus ledit Noble Roustan de Mottet a laissé après son trépas trois enfants deux mâles et une fille savoir moi Olivier de Mottet âgé de quarante-neuf ans complets et révolus depuis le premier septembre étant né un pareil jour et une même heure que mon père est mort...[29].
Aamol7

Le château de Tarascon et l'église Sainte-Marthe.

LE TEMPS DES COMMANDEURS[]

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Blason verdillon

Cléophas de Verdillon est frère de Claude, Grand maitre en 1608.

On a le Livre de raison renseigné pour la période 1659-1670, qui nous parle de

Rostan de Mottet sieur de Molières marié l’an 1609 avec Jeanne de Georges, fille d’Olivier de Georges, Seigneur de Fons en Languedoc. Rostan de Mottet laissa deux fils, Olivier et Jean et une fille[30]. Jean de Mottet de Molières est commandeur.

La fille, c'est Marguerite de Mottet (1620 - 1715), mariée le 2 avril 1636 à Cléophas de Verdillon (1600 - après 1668), Seigneur de Châteauredon, sert en des emplois à la guerre, maintenu noble en 1668[31]. Cléophas est fils d'Alexandre de Verdillon, Chevalier de Malte en 1608. Il est le frère de Claude, Chevalier de Malte, Grand Prieur de Saint-Gilles, Grand maitre en 1608.

Jean de Mottet de Molières (après 1609 - après 1680)[]

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Aamol15

Dieudonné de Gozon, Grand maître de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem est de la famille de la belle-sœur de Jean de Mottet.

Aamol4

Galiot Mottet est pourvu de la Commanderie de Bo[u]rdeaux (Le Poët-Laval) en 1417.[32]. Jean est pourvu de celle de Bo[u]rdeaux, mais en Guyenne.

Aamol18

Les armes d’Octave de Galéan : Grand Prieur de Saint-Gilles de 1745 à 1750. Bandé d’or et d’azur de six pièces, au chef de gueules, chargé d’un lion passant d’or (Raybaud, tome II, page 260).

Aamol103

Une des filles de son frère se marie avec un Robin, familles de dignitaires de l'Ordre de Malte.

Jean de Mottet de Molières, ou de Motet ou de Mouttet, est né après le 5 juin 1609 à Tarascon et décédé vers 1681/1682[33], dans une commanderie.


Jean de Mottet est un Mottet de la branche Mottet de Molières de Tarascon.


Article détaillé : Maison Mottet


Nous avons les preuves de chevalier de noble Jean de Mottet de Molières, fils de Rostain, de l'année 1627. Il est chevalier hospitalier de Saint-Jean, en 1628, à Arles. Selon l’Histoire des chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, de Vertot, chevalier en 1628, il porte :

D'azur à trois bandes d'argent, au chef cousu de gueules, chargé de trois lozanges d'argent[34].

C’est aussi le blason des Mottet de Tarascon, pas des Mottet de Toulon et de Marseille. Le chef cousu de gueules, chargé de trois lozanges d'argent se retrouve au niveau du blason des Mottet d'Île de France.

Selon Arrests notables de la Cour de Parlement de Provence, cour des ... il achète des biens en 1641[35].

Dans un extraict de la bulle du grand maistre, on lit :

portant provision de la commanderie de Bourdeaux, en faveur de Jean de Mouttet, chevallier de l'ordre Saint Jean de Hierusalem, du 25 mars 1665. *

Le Grand maître de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1665 est Nicolas Cottoner y de Oleza (1663 - 1680). Jean de Mottet est commandeur de Bourdeaux, comme son ancêtre Galiot de Mottet, mais aussi de celle de Valence, en Dauphiné, depuis 1655. Dans un bail à ferme du 20 mai 1669 apparaît un fondé de pouvoirs de Jean de Mottet, toujours commandeur du Temple de Bo[u]rdeaux.

Il est maintenu dans sa noblesse le 17 septembre 1671, comme ses cousins et son frère.

Jean de Mottet de Molières, le 1er mai 1672, est présent à l’Assemblée des chevaliers, en qualité de commandeur de Barbentane et de Bordeaux[36].

Le 4 novembre 1680, Jean de Mottet de Molières, est toujours commandeur de Valence et de Bordeaux, selon le Bulletin de la Société des amis du vieil Arles[37].

On a le Livre de Raison pour Noble Olivier de Mottet du premier septembre mil six cent cinquante neuf, son frère, qui nous dit ce qu'est la vie de la branche Mottet de Molières de Tarascon, à cette époque.

Olivier de Mottet de Molières se marie avec demoiselle Jacquette de Goson, en famille avec Dieudonné de Gozon, Grand maître de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

Une des nièces se marie avec Louis de Gallean, Baron de Vedenes, d'abord Chevalier de Malte en 1610.

L'autre avec un Robin, seigneur de Beauregard, coseigneur de Barbentane, chevalier de Malte en 1670. Elle est la mère de trois chevaliers de Malte, dont l'un est pourvu, en 1747, d'un hôtel à Malte, situé rue San-Jacopo, et d'une commanderie, qu'il échange, comme ledit hôtel, à titre héréditaire, contre le grand prieuré de Toulouse, qu'il a reçu en prix de ses services dans l'ordre de Malte.

Comme on le voit les Mottet sont tous mariés à des membres de familles de dignitaires de l'ordre de Malte.


Article détaillé : Jean de Mottet de Molières


Olivier de Mottet de Molières (1610 - 1672/1685)[]

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Mottet jean de

Provence. Tarascon. 1659-1670. Livre de Raison pour Noble Olivier de Mottet de Molières du premier septembre mil six cent cinquante neuf.‎‎

Olivier de Mottet de Molières, ou de Motet ou de Mouttet, est né le 8 septembre 1610, à Tarascon, et décédé après 1671 à Tarascon.

Olivier de Mottet de Molières est un Mottet de la branche Mottet de Molières de Tarascon.


Article détaillé : Maison Mottet


Nous avons les preuves de chevalier de noble de Jean de Mottet de Molières, son frère, fils de Rostain, de l'année 1627. Il est chevalier hospitalier de Saint-Jean, en 1628, à Arles. Selon l’Histoire des chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, de Vertot, chevalier en 1628, ils portent :

d’azur à trois bandes d’argent au chef cousu de gueules chargé de trois losanges aussi d’argent.

Olivier de Mottet de Molières est capitaine au régiment de Roussillon, du 29 novembre 1639. Après la guerre il gère ses domaines.

On a le mariage de Noble Olivier de Mouttet, escuyer, fils de Noble Rostaing, avec demoiselle Jacquette de Goson, du 19 juillet 1660, signé Gardel, notaire44[38].

Ses enfants se marient dans de nobles familles mais cette branche tombe en quenouilles. Jean, son fils, a une fille.


Article détaillé : Olivier de Mottet de Molières


Elisabeth de Mottet (1667 - 1750)[]

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Aamol100

N de Mottet c'est Elisabeth de Mottet.

Elisabeth de Mottet (1667 - 1750), sa fille, d'une maison noble de Tarascon, est la marraine de sa nièce Charlotte de Robins (1694). Elle se marie avec Charles-Félix de Galléan (1653 - 1723), fils de Louis De Gallean, Baron de Vedenes, Chevalier de Malte en 1610, premier Consul d'Avignon en 1656 et 1664..., neveu de Charles-Félix de Galéan (1620 - 1700), duc de Gadagne, lieutenant-général des armées de Louis XIV, compagnon d'armes de Henri de La Tour d'Auvergne, vicomte de Turenne, généralissime des armées de la Sérénissime République de Venise et Commandeur de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem[39]. Elisabeth de Mottet est comtesse de Gadagne.

Jean de Mottet (après 1660 - après 1692)[]

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Blason de monier

Les armes des Monier sont : d’azur au griffon d’or, accompagné de trois croissants mal ordonnés d’argent. Il s’agit des mêmes armes que les Monier de Melan.

Jean de Mottet (après 1660 - après 1692), Procureur aux comptes, se marie à Elisabeth Monier de Melan. Les Monier de Melan et de Châteaudeuil, sont issus aussi d’un marchand de Marseille, Elzéar Monier, vivant en 1550. Selon Artefeuil, Elzéar Monier, auteur des Monier de Melan, marié à Marseille en 1529, est fils d’Antoine Monier, seigneur de Melan et de Thoard, dont la mère Philippe de Barras, apporte en mariage ces deux seigneuries à Honoré Monier, écuyer de Digne[40]. Cette version est à peu de choses près celle donnée en 1693 par l’abbé Robert de Briançon. Honoré Monier est lui-même fils d’un écuyer de la ville de Moustiers, Antoine Monier. Cet Antoine Monier, écuyer de Moustiers, sert plus tard, présomptueusement, d’auteur à trois autres maisons : les Monier d’Arnaud à Viens, les Monier de la Sizeranne en Dauphiné, et les Monier des Taillades au Comtat[41].

Jeanne de Mottet (1666 - 1728)[]

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Jeanne de Mottet (1666 - 1728) se marie avec un Robin chevalier de l’Ordre de Malte. Cette famille Robin de Barbentane compte deux Grands Prieurs de Toulouse, un Grand Commandeur et Bailli, deux Commandeurs, neuf Chevaliers, dont plusieurs renoncent pour diverses raisons[42].

Son mariage (1686)[]

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Blason robin

Blason Robin de Barbentane.

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Mariage de Jeanne de Mottet (1666 - 1728) avec le Chevalier de Malte Henri-Joseph Robin de Barbentane.

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Les Robin et l'ordre de Malte.

Aamol100

Paul-François s’implique aussi beaucoup dans la vie de Tarascon dont il est premier consul à plusieurs reprises.

Aamol101

Maison rue du château.

L'Histoire héroïque et universelle de la noblesse de Provence, Volume 2, d'Artefeuil, nous dit que :

Paul-François Robin, Seigneur de Beauregard, Coffeigneur de Barbentane, se maria après avoir été reçû Chevalier de Malthe en 1670, avec Jeanne Mottet, d'une Famille noble de Tarascon, dont il eut :
1 Claude-Jean-Baptiste, Seigneur de Beauregard, habitant à Tarascon, qui a épousé Marie-Thérèse Robin, fa parente, fille de Paul Antoine, Coffeigneur de Barbentane, & de Marie Puget de Cabassole, dont il n'a point d'enfans.
2 Joseph-Marc-Antoine Robin-de Beauregard, reçû Chevalier de Malthe en 1692, Commandeur en 1747.
3 Henri Robin-de Beauregard, reçû Chevalier du même Ordre en 1701[43].


Jeanne de Mottet (1666 - 1728), fille de feu Noble Olivier de Mottet de Molières, escuyer, fils de Noble Rostaing, et demoiselle Jacquette de Goson, se marie, le 23 septembre 1686, à Tarascon, avec Paul François II de Robin (1657 - 1729), Seigneur de Beauregard (Barbentane) et de Pradel, fils d’Antoine II de Robin et de Matheline de Clémens-Ventabren. En 1670, il est reçu de minorité dans l’Ordre de Malte, mais c’est à titre de frère seulement. Puis il fait ses caravanes. Son père meurt en mer en février 1671, peut être en venant le voir, et en 1680 il renonce à l’Ordre car il est alors obligé pour affaires familiales d’envisager le mariage[44].

Antoine III, son frère aîné, mousquetaire du Roi, est probablement tué à cette époque et Paul-François se trouve placé dans l’obligation de convoler pour assurer la continuité des Robin[45]. Ils portent :

Fascé d'or, et de gueules, de 4 pièces d'or chargées de 3 merlettes de sable, à 2 et 1[46].

Leur ancêtre, Pierre Robin, d'Angers, passe d'Anjou en Provence, à la suite du roi René d'Anjou dont il est le premier médecin. Il est noble en 1479, puis seigneur de Barbentane en 1482.

Paul François II de Robin (1657 - 1729), Seigneur de Beauregard (Barbentane) et de Pradel -ou de Prades. Cette terre vient des Mottet et avant eux des Gozon. Par son mariage, Paul-François va aussi se trouver détenteur de Mottet, un grand mas de sa belle famille entre Arles et Tarascon. Mais Paul-François est entreprenant. Il commence à rétablir la situation financière de la famille et en 1698 il achète à François de Clemens de Tarascon, une grande terre et un mas dit Crémat au quartier de Lansac et Trebon, non loin du mas de sa femme à Mottet[47].

Paul-François s’implique aussi beaucoup dans la vie de Tarascon dont il est premier consul à plusieurs reprises : en 1704, année où il perd sa mère âgée de 85 ans, puis en 1714, 1718 et 1726. A partir de lui, et pendant plus d’un siècle, beaucoup de Robin habitent de cette ville où ils gardent la belle demeure dans la rue du Château (détruite pendant la dernière guerre). En fait Paul-François partage son temps entre Tarascon et le mas Mottet[48].

Le registre des Assemblées Provinciales (une dizaine de membres en général), très incomplet ne mentionne aucune Assemblée entre 1674 et 1677, date à laquelle deux Barbentane signent comme membres sans fonction, un comme Commandeur, probablement Jean-François et un autre comme chevalier (Richard, sans doute rentré dans le rang). Ce registre de 1677 est également signé d'un «chevalier de Beauregard, qui pourrait bien être le jeune Paul-François II de Beauregard, qui abandonne l'Ordre pour assurer la descendance familiale en épousant Jeanne de Mottet.

Jeanne de Mottet est décédée le 7 décembre 1728, à Tarascon, inhumée, église Sainte Marthe de Tarascon, à l’âge de peut-être 62 ans. Ils ont quatre enfants.

Ses enfants[]

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Robin de barbentane

Henri-Joseph Robin de Barbentane.

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Jeanne Françoise de Faucon.

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Bailli Pierre André de Suffren de Saint-Tropez, Postes Sovrano Militare Ordine di Malta (1989).

¤ 1. Claude-Jean-Baptiste, Seigneur de Beauregard, habitant à Tarascon, qui a épousé Marie-Thérèse Robin, fa parente, fille de Paul Antoine, Coffeigneur de Barbentane, & de Marie Puget de Cabassole, dont il n'a point d'enfans[49]. Claude-Jean-Baptiste (1687 - 1764) se marie le 8 avril 1723 à Thérèse Robin (1673 - 1768).


¤ 2. Joseph-Marc-Antoine Robin-de Beauregard, reçû Chevalier de Malthe en 1692, Commandeur en 1747[50]. Il est reçu chevalier de Malte en 1692, et pourvu, en 1747, d'un hôtel à Malte, Situé rue San-Jacopo, et d'une commanderie. Il les échange contre le grand prieuré de Toulouse, qu'il reçoit en prix de ses services dans l'ordre de Malte. Antoine est Grand Prieur de Toulouse (1744 - 1746)[51]. Avant lui, de 1668 à 1672, Antoine de Roubin-Granson est Grand Prieur de Toulouse. Le prieuré de Toulouse est créé le 21 juillet 1317 par le pape Jean XXII en démembrant le prieuré de Saint-Gilles de sa partie ouest. Les hospitaliers possédent 80 commanderies dans la langue de Provence, dont 25 dépendent de Toulouse.


¤ 3. Henri, troisième fils de Paul-François et de Jeanne de Mottet, né à Tarascon le 22 décembre 1688, souvent dit seigneur de Praddes (Pyrénées, titre provenant probablement d'une alliance familiale des Gozon. Il est reçu au berceau, selon toute vraisemblance. Il est en 1698 Page de son Éminence le Grand Maître de l'Ordre Raymond Perellos, puis chevalier de justice en 1700, puis chevalier profès, ayant donc fait ses vœux, en ses testaments de 1726 et 1729. Son père Paul-François II, connaissant bien les risques de l'existence périlleuse des chevaliers, réserve une provision de livres pour payer une éventuelle rançon pour son fils Henry en cas esclavitude. Il est Commandeur de la Capette, en Camargue (revenu de 7.100 livres/an), puis peu après Commandeur de la Vernède, toujours en Camargue (revenu de 4.500 livres[52].


¤ 4. Henri Joseph de Robin (1710 -1764)est né le 1er août 1710 à Tarascon, est reçu Chevalier novice de Malte en 1722. Vu, l’absence de descendance de son frère aîné Claude-Jean-Baptiste et la qualité de Chevalier de Malte profès de son autre frère Henri vont modifier le cours pourtant bien tracé de son existence : par une prudente réserve de la famille, seulement novice dans l’Ordre, il renonce à prononcer ses vœux et, par l’entremise de leurs réciproques parents et amis, il convole pour l’augmentation du genre humain. Seigneur de Beauregard et marquis de Barbentane, il est portant reconnu au berceau commandeur de l'ordre de Malte. Il se marie le 11 août 1750 avec Jeanne Françoise de Faucon (soeur de la marquise de Giraud et de la marquise de la Tour-Saint-Paulet). Elle descend de la famille du Bailli Pierre André de Suffren.

Ses petits-enfants[]

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Les anciennes tours de Barbentane.

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Tour Anglica.

Étienne de Robin est Capitaine de dragons (en 1786), colonel des chasseurs de Malte (en 1790). Marié en 1802 avec Catherine Delglat de La Tour du Bosc.


Étienne Claude de Robin (1764 - 1827), chevalier de Beauregard et marquis de Barbentane, reçu chevalier de Malte en minorité, fait la campagne d'Amérique, est nommé capitaine des vaisseaux du roi et chevalier de Saint-Louis. Robin appartient à une famille de vieille noblesse provençale. Il émigre, et sert, comme son frère, dans l'armée de Condé. Rapatrié en 1800, il épouse, en 1807, Antoinette de Giraud (1788 - 1847), fille du marquis de Giraud, sa cousine. Il est le père de Louis, Antoine de Robin de Barbentane (1812 - 1869).

L'Histoire de Barbentane relate :

En 1792, le vieux château (au confluent de la Durance et du Rhône), fut détruit et ses ruines furent vendues comme bien national ; elles furent rachetées par le marquis Léon de Robin de Barbentane... De l'ancien château, la tour, construite par le cardinal Grimoard, frère du Pape Urbain V, en 1365, l'année où l'Empereur Charles IV octroyait à ce prélat le privilège de battre monnaie à Barbentane et Noves... classée comme Monument Historique, elle fait partie du Domaine du Marquis d'Andigné, ancien président du conseil municipal de Paris, et gendre d'Etienne-Léon de Robin de Barbentane.

Il existe un dessin et descriptif de la Tour Anglica, construite au XIVe siècle à Barbentane sur ordre du cardinal Anglic de Grimoard, frère d'Urbain V, aux Archives départementales de Vaucluse.

Les arrière-petits-enfants[]

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Étienne Léon de Robin.

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Galliffet, prince de Martigues, devient l'ami en captivité d'Ernest de Rambaud. Ce général a une demi-sœur qui comme Ernest de Rambaud descend des Mottet de Tarascon.

¤ Louis, Antoine de Robin de Barbentane (1812 - 1869) député bonapartiste. Il épouse Mlle de Bongars, fille du colonel-vicomte de Bongars, écuyer commandant des écuries de Charles.


¤ Marie de Robin de Barbentane, née le 5 décembre 1808 - à Nîmes (30) est décédée le 8 avril 1891 à Avignon (84), à l'âge de 82 ans. Inhumée à Carpentras. Elle est mariée le 22 janvier 1833 avec Louis des Isnards.


¤ Étienne Léon de Robin, marquis de Barbentane, Commandeur de Malte, conseiller général et maire de Barbentane. Il est connu par le congrès sanitaire international de 1852, dont il est le principal promoteur, et par sa conduite énergique durant la crise de décembre 1851, double fait pour lequel il est décoré de la main même du prince-président. Il s'est marié, en 1835, avec la demi-sœur du général-ministre Gaston de Galliffet, dernier prince de Martigues, ami d’Ernest de Rambaud, qui est le descendant pas sa grand-mère, Agathe de Rambaud des Mottet et des Rambaud, sa famille, qui vit pendant deux générations à Martigues. Gaston de Galliffet, dont les aïeux sont chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem dès le XIIe siècle, et sénéchaux de Beaucaire pendant le XVIe.

Noémie Robin de Barbentane se marie avec Léon d'Andigné, général et sénateur de Maine-et-Loire, siégeant sur les bancs monarchistes, de 1876 à 1895. Ancien élève de l'Ecole royale spéciale militaire de Saint-Cyr (promotion "des Cendres" 1840-1842).

Le Bulletin de la Sté Héraldique et Généalogique de France, année 1887, col 146-149, nous dit que le décret Impérial du 15 Mars 1862 confirme le Titre de Marquis Héréditaire en faveur d'Etienne-Léon de Robin de Barbentane, et par Lettres-Patentes du 13 Mai 1865, portant règlement d'Armoiries : fascé d'or et de gueules de quatre pièces, l'or chargé de trois merlettes de sable, 2, 1.

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Barbentane : En partant de la gauche, c'est la Maison des chevaliers de l'Ordre. En face, c'est la Maison des Consuls avec le pouvoir Municipal. A droite c'est l'Église avec le pouvoir intemporel.

NOTES ET RÉFÉRENCES[]

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  1. Etat de la France, dans lequel on voit tout ce qui regarde le gouvernement ecclesiastique, le militaire,... Extrait des Mémoires dressés par les intendans du Royaume, par ordre du Roi Louis XIV... Avec des Mémoires Historiques sur l'ancien gouvernement de cette Monarchie jusqu'à Hugues Capet …, Volume 8, Comte de Boulainvilliers, chez T. Wood & S. Palmer, 1752.
  2. Extrait Des Memoires dressez par les Intendans du Royaume, par ordre du Roi, Louis XIV.: 1.2. T. Wood & S. Palmer, 1727.
  3. L'Intendance de Provence à la fin du XVIIe siècle: édition critique des mémoires "pour l'instruction du duc de Bourgogne", Volume 29 de Notices, inventaires et documents - Comité des travaux historiques et scientifiques, Section d'histoire moderne (depuis 1715) et d'histoire contemporaine, Pierre Cardin Le Bret, François Xavier Emmanuelli, Bibliothèque Nationale, 1980. p.279.
  4. Dictionnaire historique de la France, Volume 2, Ludovic Lalanne, Édition 2, Hachette, 1877. p. 1284.
  5. Etat de la France, dans lequel on voit tout ce qui regarde le gouvernement ecclesiastique, le militaire,... Extrait des Mémoires dressés par les intendans du Royaume, par ordre du Roi Louis XIV... Avec des Mémoires Historiques sur l'ancien gouvernement de cette Monarchie jusqu'à Hugues Capet …, Volume 8, Comte de Boulainvilliers, chez T. Wood & S. Palmer, 1752.
  6. Etat de la France, dans lequel on voit tout ce qui regarde le gouvernement ecclesiastique, le militaire,... Extrait des Mémoires dressés par les intendans du Royaume, par ordre du Roi Louis XIV... Avec des Mémoires Historiques sur l'ancien gouvernement de cette Monarchie jusqu'à Hugues Capet …, Volume 8, Comte de Boulainvilliers, chez T. Wood & S. Palmer, 1752.
  7. ROURE (Scipion Baron du). Les Maintenues de Noblesse en Provence, par Belleguise (1667-1669)‎. La Critique de l’Etat de la Provence et des notes additionnelles. Bergerac Imprimerie générale du Sud-Ouest (J. Castanet), 1923.
  8. ROURE (Scipion Baron du). - Les Maintenues de Noblesse en Provence, par Belleguise (1667-1669)‎. La Critique de l’Etat de la Provence et des notes additionnelles. Bergerac Imprimerie générale du Sud-Ouest (J. Castanet), 1923.
  9. ROURE (Scipion Baron du). - Les Maintenues de Noblesse en Provence, par Belleguise (1667-1669)‎. La Critique de l’Etat de la Provence et des notes additionnelles. Bergerac Imprimerie générale du Sud-Ouest (J. Castanet), 1923.
  10. La Famille d’ISE
  11. Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures a 1790: Gard, Edouard Bondurand, Imprimerie Clavel et Christianier, 1904.
  12. ROURE (Scipion Baron du). - Les Maintenues de Noblesse en Provence, par Belleguise (1667-1669)‎. La Critique de l’Etat de la Provence et des notes additionnelles. Bergerac Imprimerie générale du Sud-Ouest (J. Castanet), 1923.
  13. ROURE (Scipion Baron du). - Les Maintenues de Noblesse en Provence, par Belleguise (1667-1669)‎. La Critique de l’Etat de la Provence et des notes additionnelles. Bergerac Imprimerie générale du Sud-Ouest (J. Castanet), 1923.
  14. Carte archéologique de la Gaule: 13/2. Les Alpilles et la Montagnette, Carte archéologique de la Gaule, Fabienne Gateau, Michiel Gazenbeek, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, Paris, 1999.
  15. Liber nationis provinciae provinciarum, Volume 1, journal des étudiants provençaux à l'Université de Toulouse, Marie Madeleine Mouflard, Université de Toulouse 1965.
  16. FR AD 13, 3 E 107, Livre de raison de Jean de Mottet, de Marseille et Aubagne, 1573-1607, Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Jean de Mottet. GDR n° 2649 CNRS - DAF Recensement des écrits du for privé 2003-2006.
  17. ROURE (Scipion Baron du). - Les Maintenues de Noblesse en Provence, par Belleguise (1667-1669)‎. La Critique de l’Etat de la Provence et des notes additionnelles. Bergerac Imprimerie générale du Sud-Ouest (J. Castanet), 1923.
  18. Pièces fugitives pour servir à l'histoire de France, avec des notes historiques et géographiques, Bibliothèque du Palais des Arts, Hugues-Daniel Chaubert, 1759.
  19. Hôtel de Raoulx-Laudun
  20. ROURE (Scipion Baron du). - Les Maintenues de Noblesse en Provence, par Belleguise (1667-1669)‎. La Critique de l’Etat de la Provence et des notes additionnelles. Bergerac Imprimerie générale du Sud-Ouest (J. Castanet), 1923.
  21. ROURE (Scipion Baron du). - Les Maintenues de Noblesse en Provence, par Belleguise (1667-1669)‎. La Critique de l’Etat de la Provence et des notes additionnelles. Bergerac Imprimerie générale du Sud-Ouest (J. Castanet), 1923.
  22. ROURE (Scipion Baron du). - Les Maintenues de Noblesse en Provence, par Belleguise (1667-1669)‎. La Critique de l’Etat de la Provence et des notes additionnelles. Bergerac Imprimerie générale du Sud-Ouest (J. Castanet), 1923.
  23. Liber nationis provinciae provinciarum, Volume 1, journal des étudiants provençaux à l'Université de Toulouse, Marie Madeleine Mouflard, Université de Toulouse 1965.
  24. Inventaire du notariat de Nîmes (Gard). Yannick Chassin du Guerny.
  25. Inventaire du notariat de Nîmes (Gard). Yannick Chassin du Guerny.
  26. Histoire des chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, De Vertot, p.39.
  27. H. JOUGLA de MORENAS (puis Comte R. de WARREN), Grand armorial de France, Paris, 1934-1949, 6 vol. in-fol. Page, tome, etc : 4, Cote B.n.F. : Fol. Lm1. 209.
  28. Arrests notables de la Cour de Parlement de Provence, cour des ..., Volume 4, Hyacinthe de Boniface.
  29. ‎Provence. Tarascon. 1659-1670. Livre de Raison pour Noble Olivier de Mottet du premier septembre mil six cent cinquante neuf]
  30. ‎Provence. Tarascon. 1659-1670. Livre de Raison pour Noble Olivier de Mottet du premier septembre mil six cent cinquante neuf]
  31. ROURE (Scipion Baron du). Les Maintenues de Noblesse en Provence, par Belleguise (1667-1669)‎. La Critique de l’Etat de la Provence et des notes additionnelles. Bergerac Imprimerie générale du Sud-Ouest (J. Castanet), 1923.
  32. Dictionnaire de la noblesse, contenant ..., François-Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Badier, Édition 3, Schlesinger frères, 1869. p.621.
  33. 4e ANNEE, N°5. JUILLET 1907. Bulletin de la Société des amis du vieil Arles
  34. Histoire des Chevaliers Hospitaliers de Saint Jean de Jerusalem, appellées depuis Chevaliers de Rhodes, & aujourd'hui Chevaliers de Malte. Vertot, Abbé de. p. 381.
  35. Arrests notables de la Cour de Parlement de Provence, cour des ..., Volume 4, par Hyacinthe de Boniface.
  36. COMMANDERIE DE SAINT-JEAN DE BARBENTANE et Chailan, page 323.
  37. 4e ANNEE, N°5. JUILLET 1907. Bulletin de la Société des amis du vieil Arles.
  38. ROURE (Scipion Baron du). - Les Maintenues de Noblesse en Provence, par Belleguise (1667-1669)‎. La Critique de l’Etat de la Provence et des notes additionnelles. Bergerac Imprimerie générale du Sud-Ouest (J. Castanet), 1923.
  39. Galléan
  40. Histoire héroique et universelle de la noblesse de Provence, Volume 2, Artefeuil, Ernest vicomte de Rozière, Éditeur la veuve Girard; se vend chez F. Seguin, 1776. p. 330.
  41. Poplimont, La France héraldique, 1874, p.156.
  42. Les ROBIN et l'Ordre de Malte, Denis Martin et Joseph Petit, février 2018.
  43. Histoire héroique et universelle de la noblesse de Provence, Volume 2, Artefeuil, Ernest vicomte de Rozière, Éditeur la veuve Girard; se vend chez F. Seguin, 1776. p. 330.
  44. Les ROBIN - Graveson, Générations V, VI et VII, Denis Martin et Joseph Petit, avril 2018.
  45. Les ROBIN - Graveson, Générations V, VI et VII, Denis Martin et Joseph Petit, avril 2018.
  46. PIT I-244, III-84.
  47. Les ROBIN - Graveson, Générations V, VI et VII, Denis Martin et Joseph Petit, avril 2018.
  48. Les ROBIN - Graveson, Générations V, VI et VII, Denis Martin et Joseph Petit, avril 2018.
  49. Histoire héroique et universelle de la noblesse de Provence, Volume 2, Artefeuil, Ernest vicomte de Rozière, Éditeur la veuve Girard; se vend chez F. Seguin, 1776. p. 330.
  50. Histoire héroique et universelle de la noblesse de Provence, Volume 2, Artefeuil, Ernest vicomte de Rozière, Éditeur la veuve Girard; se vend chez F. Seguin, 1776. p. 330.
  51. Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France... : avec les pièces justificatives et les catalogues des commandeurs / par M. A. Du Bourg ; Ordre de Malte Du Bourg, Antoine (1838-1918).
  52. Les ROBIN et l'Ordre de Malte, Denis Martin et Joseph Petit, février 2018.
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