Wiki Guy de Rambaud
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                                         Hubert de Saint-Hubert

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Blason hubert

Blason des Hubert de Saint Hubert.

Aahu7

Saint-Hubert, la chasse et la nature... ses dons de guérison sont de nos jours moins connus.

A632

Des moines pratiquent la cure contre la rage à l'abbaye de Saint-Hubert à la Renaissance.

Georges Hubert de Saint-Hubert, chevalier de Saint-Hubert, est dit par Louis XIV issu de la ligne et génération du glorieux saint Hubert d'Ardennes (657 - 727). Le roi parle de leur don de guérir de père à fils, de génération en génération, cependant contrairement aux descendants de nobles retrouvant leur noblesse nous ne connaissons rien de ses origines de Floribert de Liège (685 - 746), fils d'Hubert, à Henri Hubert, de Dinant, dinandier en 1435.


La famille Hubert de Saint Hubert se voit en effet accorder des lettres-patentes de noblesse du roi Louis XIV, le dernier décembre 1649, plus précisément à Georges Hubert de Saint-Hubert. Le roi s'exprime ainsi :

Louis, par la grâce de Dieu, etc., etc. Le feu Roy, notre très-honoré seigneur et père, ayant été bien informé des grâces particulières qu'il a plu à la divine bonté, en faveur de la Sainte-Vierge, de départir à notre bien amé le sieur chevalier de Saint-Hubert, étant issu de la ligne et génération du glorieux saint Hubert d'Ardennes (657 - 727), fils de Bertrand, duc d'Aquitaine, de guérir toutes les personnes blessées et mordues de loups ou chiens enragés, et autres bestes atteintes de la rage, en touchant au chef, sans aucune application de remèdes ; comme de tout temps de père à fils, de génération en génération, ils ont toujours garanti et exempté de ladite rage, en ayant, ledit chevalier de Saint-Hubert, fait l'expérience en présence de notre dit feu seigneur et père, dès l'année 1638 ; lequel ayant reconnu les effets de son pouvoir sur quantité de personnes même guéri de nos officiers, en sa présence, étant atteints de ladite maladie, et que notre dit feu seigneur et père, dès-lors, se serait fait toucher par précaution , et commandé audit sieur de Saint Hubert de demeurer à sa suite et cour ; depuis notre avènement à la couronne, il aurait, tant en notre chasteau que autres lieux de notre royaume où nous l'avons expressément envoyé guérir de la rage, ceux qui étaient mordus et atteints de telles maladies, et ayant aussi été bien informé desditrs grâces particulières, nous nous sommes aussi fait toucher par précaution, comme aussi notre très-cher oncle le duc d'Orléans, et nos chers cousins les princes de Condé et de Conty, et autres princes et princesses et officiers de notre couronne et autres seigneurs, gentilshommes et officiers de notre maison, cour et suite[1].
A ces causes, mettant en considération les services rendus par ledit sieur chevalier de Saint-Hubert, à notre dit feu seigneur et père, ceux qu'il nous rend journellement et à notre cour et suite, et désirant le traiter favorablement, nous, de l'avis de la reine a régente, notre très-honorée dame et mère, et de notre grâce spéciale, pleine puissance et autorité royale, avons ledit sieur chevalier de Saint-Hubert, pris et mis, prenons et mettons, par ces présentes signées de notre main, en notre protection et sauvegarde spéciale, lui permettant d'aller, venir et séjourner par toutes nos villes, bourgs, lieux et endroits de notre royaume, pour y toucher toutes personnes qui se voudront préserver de ladite maladie, soit par précaution ou atteintes de ladite rage[2].
Sy vous mandons, etc. etc[3].

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Aahu2

Une famille de fondeurs et batteurs mosans, connue au Moyen Age, se voit accorder des lettres-patentes de noblesse du roi Louis XIV, le dernier décembre 1649.

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ESSAI DE GÉNÉALOGIE ANCIENNE[]

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Hubert

Saint Hubert.

Aea

Charibert de Toulouse, grand-père de Boggis.

Hubert-0

Saint Hubert.

A633

Hubertus et le cerf.

Eudes1

Son frère, Eudes d'Aquitaine.

Floribert

Floribert de Liège.

La Charte d'Alaon compilée parait-il le 21 janvier de l'année 845, à Compiègne, nous dit que sa généalogie est :

Boggis, duc d'Aquitaine (626 - 688) est un Mérovingien, duc d'Aquitaine à partir de la mort de son père[4] Chilpéric d'Aquitaine en 632 jusqu'à sa mort[5].Boggis, duc d'Aquitaine (626 - 688)

Boggis-Bertrand est le père de Saint Hubert d'Ardennes (657 - 727), de l'évêque de Liège de 706 à 727, et d'Eudes d'Aquitaine. La charte de Charles II "le Chauve", datée du 30 janvier 845 cite ':

Eudonis Aquitanie ducis et fratris sui Imitarii et eorum genitori Boggiso duci" and specifies that the territory of Duke Eudes consisted of "pago Tolosano, Cadurcensi, Pictaviensis, Agennensis, Arelatensi, Sanctonensi et Petragoricensi.

Saint Hubert d'Ardennes (657 - 727) est évêque de Tongres et de Maastricht. Il est également le saint patron de la ville de Liège. Hubert est issu de la haute aristocratie franque. Apparenté aux Pépinides, contemporain de Pépin de Herstal, son nom en fait un probable membre non situé de la famille des Hugobertides, à laquelle appartient Plectrude, l'épouse de Pépin de Herstal.

Louis XIV le voit descendant de Clotaire Ier. Sa mère s’appelle Hugberne ou Afre[6], et est sœur de sainte Oda[7].

Il est du temps de sa jeunesse comte du palais passionné de chasse. Vers 682, Hubert épouse Floribanne, fille de Dagobert, comte de Louvain. Leur fils, Floribert devient plus tard évêque de Liège. Sa femme étant morte en donnant naissance à leur fils, Hubert se retira de la cour, dans les forêts des Ardennes, et ne se livre plus qu'à la chasse.

Un vendredi, Hubert sort à la chasse. Comme il poursuit un cerf magnifique, l'animal se retourne et, comme le raconte la légende pieuse, il est stupéfait en apercevant un crucifix entre ses bois. Il entend alors une voix lui disant :

Hubert, à moins que tu tournes vers le Seigneur, et mènes une vie sainte, tu vas rapidement descendre dans l'enfer.

Hubert pied à terre, se prosterne et dit au cerf :

Seigneur, que veux-tu que je fasse ?

Il reçoit pour réponse :

Va chercher Lambert, et il te donnera des instructions.

Hubert fait un pèlerinage à Rome en 708, mais en son absence, Lambert est assassiné par les partisans de Pippin. Selon les hagiographies de Hubert, cet acte est révélé en même temps au Pape dans une vision, avec une injonction de nommer Hubert évêque de Maastricht.

Patron des chasseurs, Saint Hubert protège des bêtes fauves qui peuplent encore les forêts aux siècles passés. Qui se met sous sa protection ne craint plus les loups, leurs morsures et la rage qu'ils transmettent. Selon la légende, tandis que saint Hubert célèbre la messe à Rome, saint Pierre lui apparaît et lui remit une clef d'or, comme signe de sa puissance de lier et de délier, ainsi que de guérir les fous et les furieux. La clef de saint Hubert, petite clef de plomb, avant la découverte guérit du vaccin est censée guérir de la rage.

Il existe un lointain pèlerinage de Saint Hubert, dans les Ardennes belges, ou de Saint Hubert des Marêts, Provinois, où l'on guérit la rage par la vertu de l'eau de la fontaine et l'apposition de la clef de la chapelle chauffée au rouge et appuyée sur les morsures, le colporteur apporte au village l'image naïve du saint qui fixe les yeux sur les bois d'un cerf entre lesquels apparaît une croix lumineuse.

Saint Hubert est vénérée au Moyen-âge en partie à cause de sa noble naissance. Plusieurs ordres militaires sont nommés Saint-Hubert, en Bavière, en Bohême et celui de l'archevêque-électeur de Cologne. Saint Hubert de Liège est le patron des archers ; des chiens; des travailleurs forestiers, de la chasse, des chasseurs, de Liège, de la Belgique ; des mathématiciens, des travailleurs métalliques ; de Saint-Lamberge, des fonderies et des trappeurs. Hubertus, avec Quirinus de Neuss, Cornelius et Anthony, est vénéré comme l'un des maréchaux de la Rhénanie (Vier Gottes Marschälle). Le Hubertusorden (Ordre de Saint-Hubert) est un ordre chevaleresque fondé, en 1444, par Gérard VII de Juliers.

Floribert de Liège (ca 685 Paris - 746 Liège), également connu comme Florbert, est d’abord abbé de Saint-Pierre à Gand, puis évêque de Liège de 727 à 737. Floribert est le fils d'Hubert et Floribanne, fille de Dagobert, comte de Louvain. Floribanne est morte en couches et Hubert va consacrer se vie à la religion, en renonçant à son droit d'aînesse sur le duché d'Aquitaine. Il confie son enfant à son frère, et c'est le jeune duc d'Aquitaine, Eudes d'Aquitaine, qui va l'éduquer. Il est plus que probable que saint Floribert assiste au Concile national de Germanie en 742, présidé par saint Boniface. Ce qui est certain, c’est que c’est lui qui, le 3 juillet 745, procède à l’exaltation du corps de saint Hubert, qui est déposé sur le grand autel de la collégiale Saint-Pierre, en présence de Carloman, frère de Pépin le Bref. C’est lui qui également procède à l’élévation des reliques de sa grand-tante sainte Ode à Amay. Après sa mort, Floribert de Liège (ca 685 Paris - 746 Liège) va être vénéré comme un saint par les églises catholiques et orthodoxes.

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Aahu1

Saint Hubert.

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DE 1237 A 1649[]

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De 746 à la fin du XIVe nous ne savons pas vraiment ce que deviennent les Saint Hubert.

Selon Pierre de Saint-Hubert[8] la famille trouve ses origines connues, les plus lointaines, dans la région de Dînant. Déjà au XIIIe siècle on trouve ce patronyme dans la vallée de la Haute Meuse[9].

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Originaires de la Haute Meuse[]

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Bouvignes dépend du comté de Namur tandis que Dinant est sous l’autorité du prince-évêque de Liège.

La famille de Saint Hubert occupe depuis longtemps un rang distingué parmi les fondeurs de Dinant[10]. À la fin du XIIIe siècle, Bouvignes et Dinant, séparées par la Meuse, sont situées à la frontière entre le comté et la principauté, situation à l’origine de la concurrence industrielle et commerciale entre les deux voisines.

Jadis très puissante famille dans les pays et villes de Dinant. Elle est actuellement représentée dans la province de Namur par des cultivateurs, commerçants, etc.[11].

Les Saint-Hubert portent : D’azur à une tête-et-col de cerf d’or, surmontée d’une croix du même[12]. Saint-Hubert : D’azur au rencontre de cerf d’or entre les bois duquel une croix du même. Famille de la région de Dinant[13].

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Ire Génération[]

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Blason Saint-Hubert II

Blason des Saint-Hubert.

Godefroid le batteur dict de Saint-Hubert (ca 1200 - après 1257)

Jusqu'au IXe siècle, le travail du cuivre répond essentiellement à des besoins utilitaires ; il faut fabriquer des chaudrons et des ustensiles de cuisine. À partir du Xe siècle, il s'étend à la production d'œuvres d'art, surtout d'art religieux.

On appelle Dinanderies les marchandises de cuivre jaune que la ville de Dinant envoie par toute l’Europe. On appelle même en plusieurs lieux les chaudronniers dinandiers. La dinanderie est vivace dans la région de Dinant dès le XIe siècle, précise Claire-Marie Vandermensbrugghe, directrice et conservatrice de la Maison du patrimoine médiéval mosan (MPMM) à Bouvignes.

Beaucoup de Dinantais, généalogistes ou non, ont certainement parmi leurs ancêtres l’un au l’autre de Godinne ou de Saint Hubert batteurs de cuivres et donc dinandiers dès le moyen-âge. Dans une charte du 6 juillet 1257. rédigée en latin, on peut lire le nom de Godefroid le batteur dict de Saint-Hubert... (le batteur, c'est un batteur de cuivre, un dinandier)[14].

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VIe Génération[]

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Henri Hubert (ca 1380 - après 1435), de Dinant, qui fait en 1435, un chandelier en cuivre pesant 635 livres pour l’abbaye de Saint-Vaast, à Arras[15].

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VIIe Génération[]

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Un des fours de fusion découvert à Bouvignes, porte Chevalier (XVe siècle).

Jehan ou Jehain "le grand" Hubert (1399/1401 - après 1489), de Dinant, Premier masuyr de la Cour de la Chambre de l'Empereur du Saint-Empire romain germanique. Il habite aussi à La Roche-en-Ardenne. Il est cité en 1472[16]. C'est la tige la plus reculée qu'ont trouvé les Saint-Hubert.

Ce Jehan de Saint Hubert doit être celui qui, dans divers actes, est appelé Johan de Saint Hubert à puiche (14.1.1491parch. S' Nic. - 17.9.1494parch. Arch. Hop. S' Jean- Bapt.) parce qu'habitant près du puits emmy Dinant, et qui est premier masuyr de la Cour de la Chambre de l'Empereur (nov. 1482 Dinant - commune n" 30/96 - 11.4.1489 et 22.4.1489 Parch.).

D'après l'acte du 29 octobre 1488 cité ci-dessus (3/76v), Jehan de Saint Hubert doit être veuf et a :

¤ Massart de Saint Hubert dit Massinet

¤ Agnès de Saint Hubert, décédée vers 1488 : elle épousa, avant le 22 juin 1457Massart Puilhetaux,

¤ Marguerite de Saint Hubert, épouse de Gille le Barbier.

¤ N de Saint Hubert, épouse de Ph. Bio.


Jehan ou Jehain est aussi le père ou un proche parent de Jehan II de Saint Hubert (1440 Dinant - 1511 Dinant).

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VIIe Génération[]

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Sac de Dinant 1466.

Massart de Saint Hubert (ca 1435 - 1511), maître de batterie. Un acte confirme que Massart est bien le fils de Johan de Saint Hubert, qu'il a repris seul la maison de son père, mais qu'en compensation, il doit un cens à ses cohéritiers. L’an 1455, trois batteurs de Dinant, dont Massart, fils Jean de St Hubert, endettés, quittent furtivement la ville avec batteries de poelles et chaudrons, pour aller astorer leur industrie en Angleterre. Mais ils sont ratains à Boemel, dans la Gueldre, signalés par le magistrat de Dinant à l’évêque de Liège[17].

Jehan II de Saint Hubert (1440 Dinant - 1511 Dinant) quitte Dinant pour Namur lors du sac de Dinant en 1466. Entre le 18 août et le 25 août 1466 la ville de Dinant subit un siège des armées du Duc de Bourgogne Philippe le Bon. En seulement huit jours la ville tombe. Philippe le Bon refuse d'entrer dans Dinant, qui est livrée au pillage et au massacre. La légende raconte que les bourgeois sont jetés dans la Meuse, liés deux à deux, tandis que la ville est incendiée et les fortifications rasées. Après la bataille, la ville est rasée. Les dinandiers survivants quant à eux sont expulsés à Namur, où ils y exercent librement leur métier. Jehan II est maïeur du mestrier et frairie de la batterie de Namur.

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VIIIe Génération[]

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Plat en cuivre de Dinant.

Jehan Huby de Saint Hubert (1472 La Roche-en-Ardenne - 1527/1528 Dinant) est batteur de cuivre à Dinant. Au XVIe siècle, nous rencontrons encore les noms des batteurs suivants à Dinant : J. de St Hubert (dit Huby) en 1517. :

Jehan de St Hubert (dit Huby) en 1517[18]. Il possède trois maisons et de nombreux cens sur plusieurs autres.

Il se marie avec Catherine Farine (1484 - 1568), fille de Jean Farine (1460 - 1532) et Maroie Laroche (1460 - après 1533). Veuve, elle se remarie, vers 1530, à Jean de Loyer.

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IXe Génération[]

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Phases de fabrication d'un chaudron tripode.

Jehan IV de Saint Hubert (ca 1500 Namur - 1574 Dinant) est batteur de cuivre[19], propriétaire, mayeur de la cour de l'Empereur du Saint-Empire romain germanique, à Dinant, en 1554. Il demeure rue Barbizaine, paroisse Saint-Menge.

Jehan IV de Saint Hubert épouse, vers 1528, Marie Lambiche', qui est veuve à la date du 1er octobre 1575. Elle-même est morte avant le 20 janvier 1580. Marie est la fille de Martin Lambiche,dict de Bin[20], batteur de Dinant[21]. Leurs enfants comparaissent dans un acte réalisé le 1er février 1583 devant la cour de Dinant.

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Xe Génération[]

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Gabriel de Saint Hubert (après 1528 Namur - 15??) épouse, vers 1570, Catherine de Gerny, fille de Jean de Gerny, d'une famille de la bourgeoisie de Dinant.

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XIe Génération[]

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Blason zoude

Blason des premiers Zoude.

Georges Germain Hubert de Saint Hubert (ca 1570 Namur - 162?) se marie à Barbe de La Croix, en 1595, d'une famille de la bourgeoisie de Namur. Veuf, Georges Germain se remarie avec Eléonore de Courtenay[22]. Barbe de La Croix, dinandière, est la fille de Poncelet de La Croix. Ils sont les parents de :

¤ Jeanne de Saint Hubert (ca 1620 Namur - 16??) se marie, avant 1637) à Fraigo (Frédégond) Zoude (1606 Moustier-sur-Sambre - 1641), maître batelier, dont le père est armateur. Ils sont les ancêtres de la Famille Zoude, famille elle-aussi célèbre. Comme on le voit les deux frères Zoude ont comme prénoms Georges et Hubert certainement du fait de leur parenté Saint-Hubert.


Article détaillé : Famille Zoude


Georges Hubert de Saint Hubert (1622 - 1701), qui suit.

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Dinant, d’après Mérian.

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LA DESCENDANCE NOBLE DE GEORGES HUBERT DE SAINT HUBERT[]

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L'industrie de la batterie ne disparaît pas tout à fait à Dinant au XVIe siècle, nous y trouvons encore des forges appartenant aux Wespin, aux Maigret, aux Saint-Hubert[23].

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XIIe Génération[]

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Saint Hubert et la rage.

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Louis XIV touchant les malades des écrouelles.

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Le Chevalier a un certificat de Monseigneur Victor le Bouthillier...

Georges Hubert de Saint Hubert (1622 - 1701)[24] est né à Namur.

A cette époque il n'y a pas que le roi de France à qui on continue à attribuer des pouvoirs thaumaturgiques. C'est le cas aussi de la descendance de certains saints, notamment saint Roch, saint Martin et saint Hubert d'Ardennes (657 - 727). Les parents de saint Hubert sont réputés guérir de la rage. Le curé Jean-Baptiste Thiers consacre à cette question tout un chapitre de son Traité des superstitions :

Qu'en cette considération les parents de saint Hubert guérissent les malades du même mal pour lequel il est réclamé [...], c'est sur quoi l'Eglise ne s'est point encore expliquée jusqu'à présent dans les conciles. Quand elle aura prononcé sur ce fait et qu'elle aura approuvé authentiquement ces personnes-là et toutes les choses qu'elles pratiquent pour procurer aux malades la guérison de leurs maux, on pourra sans craindre de tomber dans la superstition leur donner quelque confiance et ajouter foi à leurs bénédictions, à leurs oraisons et à tout ce qu'ils prescrivent. Mais tant qu'elle ne se déclarera point en leur faveur, je pense qu'on doit plutôt avoir recours aux remèdes que l'Eglise et la médecine nous présentent, que de se servir de leur ministère[25].

Cette légère réserve de l'auteur s'explique sans doute par la vogue dont jouit à la Cour de Louis XIV Georges Hubert, appelé le chevalier de Saint-Hubert. Ce curieux personnage, né en 1622, obtient du roi le 31 décembre 1649 des lettres patentes qui le reconnaissent comme issu en droite ligne de la race du glorieux saint Hubert d'Ardennes et capable, du seul fait de cette filiation, de guérir toutes les personnes mordues de loups et de chiens enragés et autres bestiaux atteints de la rage, en touchant au chef sans aucune application de remède ni médicament.

Muni de ses lettres, après avoir suivi la cour pendant longtemps, il se transporte en plusieurs provinces du royaume, pour se rendre utile à sa pairie, comme le roi le lui a commandé expressément par icelles pour la conservation de ses sujets. Le certificat de Monseigneur Victor le Bouthillier, archevêque de Tours, l'atteste. Il est daté du 9 septembre 1667. Victor Le Bouthillier de Chavigny (1590-1670) fut conseiller d'État, premier aumônier de Marie de Médicis, puis grand-maître de la chapelle de Gaston d'Orléans, duc d'Orléans, frère unique de Louis XIII. Il est archevêque de Tours de 1641 à 1670.

Le chevalier de Saint Hubert ne s'enrichit pas. Il soigne pourtant, entre autres, Louis XIII, Louis XIV, Gaston d'Orléans, le prince de Conti, le prince de Condé.

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Ses origines et dons sont contestés[]

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Clef de Saint-Hubert.

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Il se crée des Ordres de chevalerie de Saint-Hubert un peu partout.

Les lettres patentes du roi, les origines et les dons des Hubert de Saint Hubert sont contestés par quelques plumitifs qui tiennent des propos incohérents :

On a dit pendant longtems qu'il y avoit une famille issue de ce Saint Evêque, laquelle avoit la vertu, en touchant à la tête, au nom de Dieu, de la Vierge, de préserver de la rage & de guérir par le seul attouchement ceux qui avoient été mordus par des animaux enragez, quand même ce ferait au visage & au sang. Cette famille avoit encore droit de relever du répit, & de toucher avec la clef de Saint Hubert, toutes sortes d'animaux fans la chauffer.
Tous ces privilèges se trouvent dans un billet imprimé que répandit un célèbre Chevalier de Saint Hubert. II s'appelloit George Hubert Chevalier issu en droite ligne de la race du glorieux Saint Hubert d'Ardennes, Gentilhomme de la maison du Roi. Ce font les titres qu'on lui donne dans l'extrait baptistáire de son fils nommé Jean-Louis, qui après avoir été ondoyé reçut en 1681 les cérémonies du baptême dans la Paroisse de Saint Merry.

Superstitions anciennes et modernes, préjugés vulgaires qui ont induit les peuples à des usages et à des pratiques contraires à la religion (1733) trouve un autre argument insensé concernant ses origines :

Il est impossible que George Hubert Chevalier soit issu en droite ligne de la race du glorieux Saint Hubert d'Ardennes car Charles Quint, en fit une, où il se faisoit descendre d'Adam par Japhet & se trouvoit parent de au 2080e degré[26].

La seule différence c'est que l'on est sur de l'existence de Saint Hubert. Des lettres patentes du roi en sont la meilleure preuve et ce n'est pas à des plumitifs - en rien généalogistes - de juger les propos d'un monarque sur la noblesse et les origines de ses sujets.

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1662, Madame de La Guette[]

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Madame de La Guette est soignée par Saint Hubert et veut lui faire épouser une de ses filles.

En 1662, Madame de La Guette (1613-1676), qui est sur ses terres en Brie, craint d'être atteinte de la rage. Elle raconte dans ses Mémoires :

Je pris résolution de m'en aller le lendemain à Paris pour trouver le chevalier de Saint-Hubert et le prier de me toucher. Comme il est de la race de ce grand saint, il a la vertu d'empêcher la rage, et tous ceux qui sont touchés de lui se tiennent heureux. Le roi même Га été et toute la Cour, ainsi qu'une infinité de personnes du royaume [...]. Aussitôt qu'il m'eut touchée, je le priai de monter en carrosse et de venir chez moi pour toucher tout ce qui y était, c'est-à-dire mes domestiques et mes bêtes [...]. Ce bon chevalier toucha le lendemain plus de mille personnes par précaution, car depuis qu'on en a été touché on est hors de danger des bêtes enragées[27].

Mais les choses se corsent, car Madame de La Guette a une fille. Or le roi lui a dit plusieurs fois qu'il fallait qu'il se mariât, pour laisser de sa race, qui était nécessaire pour le public. Il jeta les yeux sur ma fille, qu'il trouva à son gré.

Madame de La Guette (1613-1676) nous apprend qu'elle refuse de lui donner sa fille, parce qu'il est trop pauvre[28].

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Son mariage (1675)[]

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Blason savonnières

Blason des Savonnières.

Georges Hubert se marie, le 21 février 1675, avec demoiselle Louise Andrée de Savonnières, fille de feu Charles de Savonnières, écuyer, seigneur de Salvert, et de demoiselle Urbanne de Cheviré.

Dans ce contrat, Georges Hubert a la qualité de gentilhomme de la maison du Roi[29].

La famille de son épouse sont Chevaliers, marquis de Savonnières, Sgr de Savonnières, de Mosnes, du Vivier-des-Landes, de la Bretèche, de Braslou (XVe et XVIe siècles), de Brulon, en Rèstigné (XVIIe et XVIIIe siècles); de la Roche-en-Meigné, des Hayes-en-Channay, du Perray (XVIIIe siècle). La filiation authentique de cette famille, sortie de l'Anjou, remonte à Bernard, Sgr de Savonnières, mort en 1136. Pierre de Savonnières, abbé de Turpenay, est cité dans un acte de 1334. Antoine de Savonnières est prieur-curé de Benais, vers 1646. Timoléon-Madeleine-François, marquis de Savonnières, comparait, en 1789, à l'Assemblée électorale de la noblesse du Maine. Jacques de Savonnières prend part, à la même époque, à l'Assemblée électorale de la noblesse de l'Anjou.

Blason des Savonnières : De gueules, à la croix pattée et alaisée, d'or.

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Ses dons[]

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Même Colbert, dont on voit ici sa famille, aide le Chevalier à soigner les malades[30].

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Opération de la taille au sanctuaire de Saint-Hubert en Ardennes.

En ce qui concerne les dons des Hubert de Saint Hubert, les témoignages sont nombreux et illustres. George Hubert soigne et guérit des proches de Louis XIII, dès l'année 1638. Il soigne pendant des dizaines d'années la famille royale, la Cour et parcourt le royaume pour guérir les victimes de la rage. Un exemple :

Un chien enragé avoit mordu tant en fa maison de Gondy & Saint Cloud, qu'au Château de Noisy & les fermes dudit, Château, quelques chiens, chevaux, porcs, & au tres bestiaux, il avoit convié ledit Sieur Chevalier de s'y transporter pour toucher tous ses domestiques qui surent tous garantis, & lefdits bestiaux guéris.

Autre exemple :

M. Hardouin de Perefixe accorde a la même permission à ce Chevalier de Saint Hubert, précisément à cause de la prétendue guérison des domestiques de M. de Gondy. En 1689, M. de Harlay la lui accorda simplement; ainsi que fit le 14 Juin 1691. M. Louis-Antoine de Noailles qui étoit alors Evêque de Chalons.

Ce sont des dizaines de prélats et même Colbert qui aide le Chevalier à soigner les malades[31]. La duchesse d'Angoulême le considère fort pour sa vertu, et qu'elle le tient homme de bien et fort charitable[32]. George Hubert et Louise Andrée de Savonnières sont les parents de :

Le chevalier meurt en 1701[33].

Comme on peut le lire les titres de Georges Hubert de Saint Hubert et ses descendants leur viennent de Louis XIV, donc ils sont on ne peut plus authentiques.

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XIIIe Génération[]

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Revue de Mousquetaires-Noirs dans la plaine des Sablons, 1729. La fille de Georges épouse un certain du Ballet, chevalier de Saint-Louis, brigadier des Mousquetaires.

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Nicolas-Charles de Saulx-Tavannes, évêque, comte de Châlons, reconnaît les dons du fils de Georges.

Paule-Françoise Hubert de Saint Hubert (ca 1676 - 1743) est élevée à Maison Royale de Saint-Louis, pensionnat pour jeunes filles, créé en 1684, par le roi Louis XIV à la demande de Madame de Maintenon qui souhaite la création d'une école destinée aux jeunes filles de la noblesse pauvre. Paule-Françoise Hubert de Saint Hubert, à Saint-Cyr, commence à toucher, à l'âge de six ans, plusieurs personnes mordues de bêtes enragées, en présence du Roi et de toute la cour. Elle est, dès ce temps, pensionnée par Sa Majesté, de 600 livres de pension. Elle se marie à M. du Ballet, chevalier de Saint-Louis, brigadier des Mousquetaires. Mais, elle est morte veuve et sans enfants, au couvent des Loges (à Saint-Germain en Laye), ordre de Fontevrault, le 25 avril 1743.


Jean-Louis Hubert de Saint Hubert (1680 - après 1723) naît à Paris, paroisse Saint-Mérri, le 3 décembre 1680. Il épouse, le 13 octobre demoiselle Marguerite Jagot, fille de messire Etienne Jagot de La Ribière (1673 - 1755), intéressé dans les affaires du Roi. Il a la même grâce particulière que son père, pour se rendre également utile à sa patrie, il parcourt tout le royaume pour la guérison de ceux qui sont attaqués de la rage, ainsi qu'il est constaté par nombres de certificats, et notamment ceux de messeigneurs Jean de Catellan, évêque et comte de Valence, prince de Soyon, du 13 décembre et Martin de Ratabon, évêque et comte de Viviers, du 5 janvier 1714 ; Charles-François des Monstiers de Mérinville, évêque de Chartres, du 14 août 1715 ; Pierre Rogier du Crévy, évêque du Mans, du 11 avril ; Nicolas-Charles de Saulx-Tavannes, évêque, comte de Châlons, du 24 mars 1722 ; et Scipion-Jérôme Bégon, évêque de Toul, prince du Saint-Empire, du 5 mars 1713.

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XIVe Génération[]

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Blason de Monseigneur Mathieu Ysoré d'Hervault de Pleumartin, archevêque de Tours.

Etienne Hubert de Saint Hubert est né à Saumur le 30 octobre 1706, marié, le 19 janvier 1735, avec Jeanne Ysoré de La Varenne, petite-nièce de Monseigneur Mathieu Ysoré d'Hervault de Pleumartin, archevêque de Tours. Les Ysoré, une des plus anciennes maisons de la province d'Anjou sont mentionnéS dans un titre dès 1145. De ce mariage sont issus :

Etienne II, qui suit.
Jeanne-Julienne de Saint-Hubert, née à Blou, en Anjou, le 2 juillet 1735. L'une des citoyennes Saint-Hubert, Jeanne-Julienne, arrêtée le 22 brumaire an II (12 novembre 1793), ex noble, soeur d'un guillotiné, meurt le 25 pluviôse en prison à Bourges[34][35].
une soeur[36][37].

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XVe Génération[]

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Acte de baptême de l'un de leurs fils.

Etienne II Hubert de Saint Hubert, né à Blou, au diocèse d'Angers, le 15 avril 1737, épouse, le 18 avril 1765, demoiselle Angélique Odit. Etienne II Hubert de Saint Hubert est guillotiné à Saumur le 22 brumaire an II (12 novembre 1793). Il a deux sœurs mortes à Bourges, dont Jeanne-Julienne, le 23 pluviôse an II (11 février 1794)[38][39]. En 1827 ses enfants, seuls héritiers sont indemnisés. Il s'agit de :

1°. Alexandre de Saint-Hubert (1779 - 1869), qui suit ;
2°. Jeanne de Saint—Hubert;
3°. Françoise Alexandre Rose de Saint—Hubert ;
4°. Angélique de Saint-Hubert[40].

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XVIe Génération[]

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En 1804, le Général de l’armée Vendéenne Alexandre de Saint-Hubert (1779 - 1869) achète ce qui reste du Château du Boisniard et le restaure.

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Lettre de Saint-Hubert demandant à Mornac de le rejoindre afin de convenir d'une réponse conjointe à faire à la lettre de Sapinaud et de lui apporter un rapport sur l'affaire de Rocheservière pour contrecarrer celui de d'Autichamp qui accable Suzannet ; au Boistissandeau, 7 juill. 1815.

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Billet rédigé de la main du chevalier de Saint-Hubert découvert dans les registres des délibérations communales des Brouzils - 1815 - fév. 1838[41].

¤ Etienne-Louis-Auguste de Saint-Hubert. Vendéen, comme son père et son frère, il est fait prisonnier. Il ne meurt pas guillotiné, comme son père, mais dans les cachots révolutionnaires[42].


¤ Alexandre de Saint-Hubert (1779 - 1869), né le 14 avril 1779, à Blou, décédé après 1827[43], est élève de l'école royale militaire de Pontlevoy, en 1789. Dès l'âge de 12 ans il fait toutes les guerres de la Vendée, et parvient de grade en grade à celui de maréchal des camps et armées du Roi. En 1804, cet Alexandre de Saint-Hubert (1779 - 1869), général de l’armée Vendéenne, achète ce qui reste du Château du Boisniard et le restaure dans le style qu’on lui connaît aujourd’hui : une façade d’inspiration Renaissance, l’autre façade plus médiévale. Il a encore mailles à partir avec les Républicains. Après sa participation au soulèvement de juin 1815, lors d'une perquisition au château du Bois Niard, il doit s'enfuir par un souterrain[44]. Le 6 septembre 1815, aux Herbiers (Vendée), il rédige un état nominatif des officiers du 2e corps d'armée de la Vendée qu'il commande[45]. Il est chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis.

Il se marie, le 29 avril 1801, à Hortense de Hillerin de Boistissandeau (1775 - 1801)[46], fille de Louis François de Hillerin, marquis de Boistissandeau, Gentilhomme de la chambre de Monsieur. Avant la révolution, en 1773, Louis-François de Hillerin du Boistissandeau épouse Marie Charlotte Elizabeth de Villeneuve du Cazeau. Leur fille et Saint-Hubert sont les parents de :

1°. Adolphe de Saint-Hubert marié à Modeste Meyer ;
2°. Marie—Adélaïde-Hortense, demeurant à Lormois ;
3°. Clara de Saint—Hubert mariée à Joseph Marinijesk, demeurant à Nantes ;
4°. Julie—Aminthe de Saint-Hubert, née à La Verrie, le 15 décembre 1806 ; mariée à La Verrie, le 19 avril 1837, avec Benjamin Guinebertière, demeurant à Ramberge à La Gaubretière, né à Neuvy (49), le 22 thermidor an XII (10 août 1804), fils de Jacques-Pierre Guinebertière, cultivateur, et de Jacquine Pineau. Le premier témoin de cette naissance est Joseph-Toussaint Grignon de Pouzauges. A propos du père de Julie-Aminthe, il est dit dans l'acte :
absent et dans l'impossibilité de manifester sa volonté par suite du jugement rendu contre lui le 24 mai 1833, pour faits politiques[47]. Il est chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis.

Il est donc certainement légitimiste. Il a un autre fils, Alexandre II, né le 4 juin 1801 à Ardelay (85) qui meurt noyé.

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La branche noble semble éteinte, mais il reste des industriels comme Edouard de Saint Hubert & Adélaïde Bauduin.

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NOTES ET RÉFÉRENCES[]

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  1. Nobiliaire universel de France, ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume. T. 12 ; avec le concours de MM. de Courcelles, l'abbé de l'Espines, de Saint-Pons,... Viton de Saint-Allais, Nicolas (1773-1842), Éditeur : Bachelin-Deflorenne (Paris) 1872-1878.
  2. Nobiliaire universel de France, ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume. T. 12 ; avec le concours de MM. de Courcelles, l'abbé de l'Espines, de Saint-Pons,... Viton de Saint-Allais, Nicolas (1773-1842), Éditeur : Bachelin-Deflorenne (Paris) 1872-1878.
  3. Nobiliaire universel de France, ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume. T. 12 ; avec le concours de MM. de Courcelles, l'abbé de l'Espines, de Saint-Pons,... Viton de Saint-Allais, Nicolas (1773-1842), Éditeur : Bachelin-Deflorenne (Paris) 1872-1878.
  4. Hubert
  5. AQUITAINE, DUKES
  6. Das Ökumenische Heiligenlexikon
  7. http://gemeinden.erzbistum-koeln.de/pfarrverband_angerland_kaiserswerth/index.html Das Ökumenische Heiligenlexikon
  8. Edouard de Saint-Hubert, Fondateur des Etablissements à Orp, en 1877.
  9. de Saint Hubert
  10. Bulletins, Volumes 23 à 24, Société historique et archéologique de Tournai 1890.
  11. Kessel, p. 72.
  12. Willems, p. 117.
  13. Loutsch, p. 695.
  14. de Saint Hubert
  15. HISTOIRE DE LA DINANDERIE (SECONDE PARTIE).
  16. Dictionnaire des noms de famille en Wallonie et à Bruxelles, Jean Germain, Lannoo Uitgeverij, 2007.
  17. HISTOIRE DE LA DINANDERIE (SECONDE PARTIE).
  18. HISTOIRE DE LA DINANDERIE (SECONDE PARTIE).
  19. HISTOIRE DE LA DINANDERIE (SECONDE PARTIE).
  20. Cartulaire de la commune de Dinant: 1556-1620, Volume 7 de Documents inédits relatifs à l'histoire de la province de Namur, Volume 4 de Cartulaire de la commune de Dinant, Léon Henri Pierre Joseph Lahaye, Conseil provincial de Namur, Dieudonné Brouwers, Stanislas Bormans, A. Wesmael-Charlier, 1891
  21. La Formation du capitalisme moderne dans la Principauté de Liège au XVIe Siècle, Librairie Droz 1939.
  22. Dictionnaire universel de la noblesse de France..., Jean-Baptiste-Pierre Courcelles, Au Bureau général de la noblesse de France, 1821.
  23. Brouwers Dieudonné. Les marchands-batteurs de Dînant à la fin du XVe siècle. In: Bulletin de la Commission royale d'histoire. Académie royale de Belgique. Tome 78, 1909. pp. 113-141.
  24. Lebrun François. Médecins et empiriques à la cour de Louis XIV. In: Histoire, économie et société, 1984, 3ᵉ année, n°4. Santé, médecine et politiques de santé. pp. 557-566.
  25. Lebrun François. Médecins et empiriques à la cour de Louis XIV. In: Histoire, économie et société, 1984, 3ᵉ année, n°4. Santé, médecine et politiques de santé. pp. 557-566.
  26. Superstitions anciennes et modernes, préjugés vulgaires qui ont induit les peuples à des usages et à des pratiques contraires à la religion de Pierre Lebrun, Picart, Jean-Frédéric Bernard, 1733.
  27. Lebrun François. Médecins et empiriques à la cour de Louis XIV. In: Histoire, économie et société, 1984, 3ᵉ année, n°4. Santé, médecine et politiques de santé. pp. 557-566.
  28. Mémoires, Bibliothèque Elzévirienne, Volume 50 de Mémoires de Madame de La Guette, Catherine Meurdrac de La Guette, Célestin Moreau, P. Jannet 1856.
  29. Dictionnaire universel de la Noblesse de France, Jean Baptiste Pierre JULLIEN DE COURCELLES. 1821.
  30. Superstitions anciennes et modernes, préjugés vulgaires qui ont induit les peuples à des usages et à des pratiques contraires à la religion de Pierre Lebrun, Picart, Jean-Frédéric Bernard, 1733.
  31. Superstitions anciennes et modernes, préjugés vulgaires qui ont induit les peuples à des usages et à des pratiques contraires à la religion de Pierre Lebrun, Picart, Jean-Frédéric Bernard, 1733.
  32. Mémoires, Bibliothèque Elzévirienne, Volume 50 de Mémoires de Madame de La Guette, Catherine Meurdrac de La Guette, Célestin Moreau, P. Jannet 1856.
  33. Lebrun François. Médecins et empiriques à la cour de Louis XIV. In: Histoire, économie et société, 1984, 3ᵉ année, n°4. Santé, médecine et politiques de santé. pp. 557-566.
  34. Les Vendéens déportés à Bourges: de Saumur par Orléans, 1793-1794, Romain Gayon, Cercle généalogique du Haut-Berry, 2001, ISBN 2905445246, 9782905445247.
  35. Morts pour leur foi: victimes de la Révolution en Anjou 1793-1801, Association du bicentenaire de la Vendée-angevine, P. Téqui, 2000.
  36. Les Vendéens déportés à Bourges: de Saumur par Orléans, 1793-1794, Romain Gayon, Cercle généalogique du Haut-Berry, 2001, ISBN 2905445246, 9782905445247.
  37. Morts pour leur foi: victimes de la Révolution en Anjou 1793-1801, Association du bicentenaire de la Vendée-angevine, P. Téqui, 2000.
  38. Les Vendéens déportés à Bourges: de Saumur par Orléans, 1793-1794, Romain Gayon, Cercle généalogique du Haut-Berry, 2001, ISBN 2905445246, 9782905445247.
  39. Morts pour leur foi: victimes de la Révolution en Anjou 1793-1801, Association du bicentenaire de la Vendée-angevine, P. Téqui, 2000.
  40. États détaillés des liquidations faites par la Commission d'Indemnité, à l'époque du 31 décembre 1827, en exécution de la loi du 27 avril 1825, au profit des anciens propriétaires ou ayant-droit des anciens propriétaires de biens-fonds confisqués ou aliénés révolutionnairement: Contenant, par ordre alphabétique, depuis le Département des Landes jusques et y compris celui des Pyrénées-Orientales, Impr. Royale, 1828.
  41. BLOU (49) - LE CHEVALIER BERTRAND DE SAINT-HUBERT, MARÉCHAL DE CAMP (1779 - 1869)
  42. BLOU (49) - LE CHEVALIER BERTRAND DE SAINT-HUBERT, MARÉCHAL DE CAMP (1779 - 1869)
  43. États détaillés des liquidations faites par la Commission d'Indemnité, à l'époque du 31 décembre 1827, en exécution de la loi du 27 avril 1825, au profit des anciens propriétaires ou ayant-droit des anciens propriétaires de biens-fonds confisqués ou aliénés révolutionnairement: Contenant, par ordre alphabétique, depuis le Département des Landes jusques et y compris celui des Pyrénées-Orientales, Impr. Royale, 1828.
  44. Dictionnaire des lieux-dits de Chambretaud
  45. AD85 - Archives militaires de la guerre de Vendée.
  46. Le Boistissandeau, Marie-Guillaume, Pierre Perrocheau, Éditeur FeniXX, ISBN 2402230983, 9782402230988
  47. Dictionnaire des lieux-dits de Chambretaud
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