Wiki Guy de Rambaud
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                                Henri Herlau[t]

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Le prévôt et les échevins de la ville de Paris. Herlau est au centre un peu en retrait.

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Henry Herlau est décédé rue Saint-Germain l'Auxerrois.

Henri Herlaut, ou Henry Herlau, est né vers 1630, peut-être à Compiègne. Il est décédé rue Saint-Germain l'Auxerrois, le 5 novembre 1703, à Paris[1].

Henri Herlau est un membre de la famille Erlaut-Herlaut. Son père n'est que maître poissonnier à Compiègne, mais ses descendants occupent des fonctions importantes, comme leurs ancêtres de la fin du moyen-âge et ont le même blason.

Henri Herlau est marchand bourgeois de Paris (1679)[2] et l'un des conseillers de l'hôtel de ville de Paris (1678)[3].

Henri est échevin (1687) et ancien quartenier (1691)[4], conseiller du Roy en l'Hôtel de Ville, Receveur Général (1684), puis administrateur de l'Hôtel-Dieu de Paris (1690 - 1691), selon l'Inventaire-sommaire des Archives hospitalières antérieures à 1790 (1884). Un quartenier est un officier de ville qui est préposé à la surveillance d’un quartier. 'Henri Herlau est membre de la juridiction consulaire (1691 - 1703).

Herlau se marie en 1658 avec Anne Lourdet est la fille de Simon Lourdet, tapissier ordinaire du Roi, fondateur de la manufacture royale de la Savonnerie, près de Chaillot. On retrouve, sans certitude, certaines de ses tapisseries dans les inventaires d'Anne Lourdet et Henry Herlau. En 1697, ils sont mentionnés dans la salle du deuxième étage de leur domicile, rue Saint-Germain[5].

Henry Herlau, marchand bourgeois de Paris et l'un des conseillers de l'hôtel de la ville de Paris, et Anne Lourdet, sa femme, demeurant à Paris, rue et paroisse S.-Germain-l'Auxerrois : confirmation de donation mutuelle (1679).

SA FAMILLE[]

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Blason herlaut

Blason Herlaut-Herlau-Erlaut (d'Hozier).

Blason mottet paris

Blason des premiers Mottet en Île-de-France.

Blason Mottet de La Motte

Blason des Mottet d'Île-de-France et des Indes après le mariage Herlaut. La Motte noire correspond au château de La Motte[6].


Henri Herlau est un membre de la famille Erlaut-Herlaut. Il porte en 1687 : D'or, au chevron d'azur, accompagné de trois roses de gueules[7].

Les Herlant ou Erlaut, officiers de finance ou de judicature sont nombreux de Charles VII (21 octobre 1422 – 22 juillet 1461) à Charles VIII (30 août 1483 – 7 avril 1498)[8].

A part Antoine Herlaut (ca 1500-1573), Premier confesseur de la Reine Catherine de Médicis et évêque, il faut attendre un siècle pour retrouver des Herlaut illustres.


Article détaillé : famille Erlaut-Herlaut

Article détaillé : Antoine Herlaut

Article détaillé : Simon Lourdet

Article détaillé : Nicolas-Jérôme Herlaut

Article détaillé : Jérôme Herlaut de La Motte

Article détaillé : Jérôme II Herlaut de La Motte

Article détaillé : Louis Mottet de La Motte

Article détaillé : Nicolas Mottet de La Motte


Jean Herlaut, qui est peut-être son père, possède en 1640 la troisième partie d'une maison, sise dans le ravelin de la porte du Pont, proche le moulin Bocquet. Jean est maître poissonnier à Compiègne. Ses descendants occupent des fonctions importante, comme leurs ancêtres de la fin du moyen-âge et ont le même blason. C'est le cas de - entre autres - Nicolas-Jérôme Herlaut, Jérôme Herlaut de La Motte, Jérôme II Herlaut de La Motte, Louis Mottet de La Motte (1651-1733) et Nicolas Mottet de La Motte.

ÉCHEVIN DE PARIS[]

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Avant d'être échevin de la ville de Paris (1669 - 1687)[]

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Plaque avec le nom d'Herlau avant la Révolution à l'Hôtel de Ville[9].

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Le prévôt et les échevins de la ville de Paris. Herlau est au centre un peu en retrait.

Herlau se marie en 1658 avec Anne Lourdet est la fille de Simon Lourdet, tapissier ordinaire du Roi, fondateur de la manufacture royale de la Savonnerie, près de Chaillot. On retrouve, sans certitude, certaines de ses tapisseries dans les inventaires d'Anne Lourdet et Henry Herlau. En 1697, ils sont mentionnés dans la salle du deuxième étage de leur domicile, rue Saint-Germain[10].

Lors d'un tirage au lot qui a lieu le 21 juillet 1669, pour lequel on a fait appel à un apprenti de la Savonnerie du nom d'Antoine Foyer, la première tenture en huit pièces échoit à Henry Herlau.

Henri Herlau est marchand bourgeois de Paris (1679)[11] et l'un des conseillers de l'hôtel de la ville de Paris (1679).

On a le bail d'une maison sise à Paris au coin des rues Prouvaire et des Deux-Ecus, donné par Henry Herlan, marchand bourgeois et l'un des conseillers de l'Hôtel de Ville de Paris, à maître Jean-Thomas Creuilly, procureur en Parlement, le 8 mars 1676. Une procuration est donnée par Suzanne Moreau, veuve de Jérôme Herlant, seigneur de Lamotte et autres lieux, à Valentin Mulot, le 5 août 1748[12].

Henri est ancien échevin et quartenier[13], conseiller du Roy en l'Hôtel de Ville, Administrateur, gouverneur et Receveur Général de l'Hôtel-Dieu de Paris en 1691, selon l'Inventaire-sommaire des Archives hospitalières antérieures à 1790 (1884).

Il est échevin en 1687 (O1 31 fol 174).

Échevin de la ville de Paris (1687 - 1690)[]

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Festin que Paris donne à Louis XIV en 1687. M. Fourcy, Prévôt des Marchands et à côté de lui est Henri Herlau, échevin, oncle du financier.

Il est représenté sur une célèbre toile d'Hyacinthe Rigaud, avec les quatre échevins de la moitié droite de l'oeuvre, Pierre Lenoir, Claude Bellier et Vincent Marescal. Sur une peinture de Nicolas de Largillière 1656-1746, il est debout à l'extrême droite, selon Nicolas de Largillierre (Musée Jacquemart-André 2003).

Henri Herlaut (ca 1630 - 1703) fait une présentation du serment d'échevin de Paris en 1687 (O1 31 fol 174). Nous connaissons par un document les voix qu’il obtient pour être échevin de Paris en 1696[14]. Les échevins de Paris sont les assesseurs du prévôt des marchands et siègent avec lui à l'hôtel de ville. Les échevins prêtent serment entre les mains du roi. C’est un titre de noblesse (Edit de 1706 et 1716).

Receveur Général (1684), puis administrateur de l'Hôtel-Dieu de Paris (1690 - 1691)[]

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L'Hôtel-Dieu de Paris

Henri Herlau est receveur général de l'Hôtel-Dieu (1684)[15].

Partage des emplois de Messieurs les Maîtres, Gouverneurs & Administrateurs de l'Hôtel-Dieu de Paris[16] :

Extrait des Registres du Bureau dudit Hôtel-Dieu, le samedi 11 février 1690, à dix heures du matin, en la première assemblée tenue au Palais archiépiscopal, en vertu des Lettres-Patentes du Roi, du mois de janvier dernier, registrées au Parlement, le 6 de ce mois, où étoient[17] :
... Henry Herlau, Conseiller du Roi & de la Ville, ancien Echevin...[18].

Herlau est responsable de différentes activités : la paneterie, la cuisine, la lingerie[19].

Henry est Administrateur, gouverneur et Receveur Général de l'Hôtel-Dieu de Paris en 1691, selon l'Inventaire-sommaire des Archives hospitalières antérieures à 1790 (1884).

Membre de la juridiction consulaire (1691 - 1703)[]

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Herlau est un quartenier, un officier de ville qui est préposé à la surveillance d’un quartier.

Le Recueil contenant les édits et déclarations du roy sur l'établissement et confirmation de la juridiction des consuls en la ville de Paris, nous dit qu'Henri Herlau est membre de la juridiction consulaire :

1691. Pour l'élection d'un Juge & de quatre Consuls a été procédé le Mardy trente Janvier. Et ont été Scrutateurs Sire Jacques Guillebon ancien Consul, & sieur Nicolas Langlois, Marchand Libraire, qui ont trouvé par le scrutin être demeuré pour... II°. Consul, Sire Henry Herlau, Conseiller du Roy en l'Hôtel de Ville, ancien Echevin, Administrateur & ancien Receveur General de l'Hôtel-Dieu de Paris[20].

MARIAGE ET DESCENDANCE[]

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Son mariage[]

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Blason des Lourdet.

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Vue d'une partie du Cours, et de la Savonnerie, ou est la manufacture de ces beaux tapis, qui font la plus precieuse partie des meubles de tous les grands seigneurs de l'Europe, et qui sont reconnus sous le nom de la savonnerie.

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Tapis tissé pour la Galerie d’Apollon Paris (1664 - 1667). Fabriqué par la Manufacture de la Savonnerie, atelier de Simon Lourdet, tapissier, d’après Charles Le Brun.

Herlau se marie en 1658 avec Anne Lourdet, fille de Simon Lourdet, tapissier ordinaire du Roi, demeurant à la Savonnerie, près de Chaillot[21]. Simon Lourdet est le fondateur de la manufacture de tapisserie royale (privilèges confirmés par Louis XIII), et ce, au premier quart du XVIIe siècle. Ses œuvres majeures sont dans la Grande Galerie du Louvre. Il est Directeur de la Tapisserie de 1656 à 1658, entrepreneur de tapis de Turquie et du Levant, 1er Tapissier Ordinaire du Roi à la Savonnerie. Il demeure le 17 juin 1649 à Paris, paroisse de Chaillot. Il décède à Paris le 13 janvier 1/1666[22].

Simon Lourdet obtient ses lettres de Noblesse de Louis XIII le 1er juillet 1627. et il porte : D'argent, à la ruche de sable, accompagnée de quatre abeilles du même ; au chef d'azur, chargé de trois étoiles d'or. (Île-de-France)[23].

La Manufacture de la Savonnerie établie à Paris, près de Chaillot, en 1615, sous Marie de Médicis, par le tapissier Simon Lourdet, est réunie sous Colbert à celle des Gobelins ; il n'y a dès lors qu'une seule manufacture royale des meubles de la couronne[24]. On a aussi Jean Lourdet, tapissier flamand établi à Paris, en 1627... certainement son oncle. Henri Herlau, ancien échevin décède rue Saint-Germain l'Auxerrois, le 5 novembre 1703[25].

On retrouve, sans certitude, certaines des tapisseries de Simon Lourdet dans les inventaires d'Anne Lourdet et Henry Herlau. En 1697, ils sont mentionnés dans la salle du deuxième étage de leur domicile, rue Saint-Germain[26].

On a le baptême de Henry Maucuit. Le parrain est Henry Herlaut, bourgeois et conseiller de l'hostel de ville de Paris, la marraine : Anne Lourdet, sa femme. 1er avril 1678[27].


Article détaillé : Simon Lourdet


Leur descendance[]

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Collège de Navarre sur le plan de Truschet et Hoyau. Antoine Herlau meurt dans la Maison des Docteurs de Navarre, le 14 octobre 1734.

Fremin Herlau, Marchand bourgeois de Paris, mari d'Anne Bourgeois est déjà décédé en 1682. Rue Saint-Denis, en 1644 : Maison en trois corps d'hôtels, à l'enseigne du Cheval blanc § Bail au nom des mineurs Drouin, pour 6 ans, à Fremin Herlau, marchand bourgeois de Paris, de la rue Saint-Denis en laquelle il demeure, moyennant 1200 livres de loyer annuel.


Henri Herlau et Anne Lourdet sont les parents d'Antoine Herlau (1650 - 1734) :

¤ Antoine Herlau (ap. 1658 - 1734) a un blason un tout petit peu différent, selon d'Hozier, de celui de la famille Erlaut-Herlaut. Il est gouverneur de l'Hôtel-Dieu, comme son père avant lui en 1689. Il prend le bonnet de docteur le 13 août 1682. Il est Prêtre Docteur en Théologie de la Faculté de Paris de la Maison Royale de Navarre, et Doyen de la Faculté. Herlau a avec Bossuet plusieurs conférences particulières, mais sans réussir à poser les bases d'un accord. Antoine Herlau est prêtre et docteur en théologie de la faculté de Paris. Ce Docteur recommandable par sa solide piété et par son amour pour les Pauvres, fait pendant sa vie et à sa mort de grandes Aumônes. Antoine Herlau meurt dans la Maison des Docteurs de Navarre, le 14 octobre 1734. Il n'a jamais eu de Bénéfice et n'en a jamais désiré. Il finit son existence à l'âge de 84 ans, une vie très édifiante et une mort toutes Chrétiennes[28].


¤ Anne Herlau (ap. 1658 - 1709) se marie le 3 décembre 1688 à Nicolas Henault, ancien procureur en la cour de Parlement, décédé le 30 avril 1693. Puis on a un Contrat de mariage entre Jean-Joseph Daumont, rue Sainte-Marguerite et Anne Herlau, veuve de Nicolas Henault, procureur en la cour de Parlement, rue des lavandières, en 1693. On a un testament d'Anne Herlau, rue Saint-Jacques, épouse de Jean Claude Joseph Daumont, dès 1694. Le 2 juin 1709 on a inventaire des biens de Nicolas Henault, décédé, marié à Anne Herlau décédé


¤ Marie-Anne Herlau (1665 - ap. 1719). Le 15 septembre 1719 on a un extrait baptistaire de Marie-Anne Herlau, veuve de François Leclerc, baptisée le 14 février 1665 en l'église Saint-Germain-l'Auxerrois (Registre de la paroisse.)[29]. 9 juin 1719. Procuration donnée par François Leclerc conseiller architecte de S.M. Très Chrétienne, ci-devant commis à la fonction de grand voyer de la ville de Paris et de voyer particulier de la ville prévôté et vicomté d'icelle étant à Bruxelles, où il demeure rue des Grands-Carmes, à Marie-Anne Herlau, sa femme, à l'effet de recevoir du sieur Quirot, greffier des bâtiments de Paris, le remboursement de 300 livres de rente. 7 juillet 1719 - Quittance par Marie-Anne Herlau, épouse séparée de biens de François Leclerc, architecte des bâtiments du roi, demeurant grande rue du faubourg Saint-Honoré, paroisse Sainte-Marie-Madeleine, au nom et comme procuratrice de son mari, à Étienne François Quirot, greffier des bâtiments, de 6.145 livres 16 sols 8 deniers, pour le rachat de 300 livres de rente, et pour les arrérages dus.8 juillet 1719 - Quittance par Claude-Louis Hinart, bourgeois de Paris, à François Leclerc, de 6.145 livres, en remboursement de plusieurs obligations; la somme lui est versée par Marie-Anne Herlau, procuratrice de son mari. Le 29 novembre 1719 on a une constitution par les héritiers Jouvenet, au profit de la veuve de Benoît Noyel, demeurant rue Saint-Jacques, de 185 livres 15 sols 7 deniers de rente, moyennant 4.637 livres 1 sol 10 deniers, destinées à rembourser la créance de Marie Herlau, veuve de François Leclerc, conseiller architecte du roi, et de ses deux filles. Les 49.000 livres provenant de la vente ci-dessus n'ayant pas suffi à payer les dettes de la succession[30].

Le 19 septembre 1719 on a un extrait baptistaire de Louise-Anne Leclerc, baptisée le 4 août 1690, et de sa soeur Marie-Françoise, baptisée le 4 novembre 1694, en l'église Saint-Eustache (Registre de la paroisse.)[31].


¤ Jacques Herlau (ap. 1658 - 1682) partage le 1erjanvier 1674 entre Nicolas Henault, Anne Herlau et Jacques Herlau. Il est marchand bourgeois de Paris. Juré contrôleur du pied fourché. Son épouse Marie Charles, en 1682, est tutrice de Marie Anne et Marie Magdeleine Herlau leurs enfants mineures. Nicolas Henault, Procureur en parlement est Subrogé tuteur des filles mineurs de Jacques Herlau.

NOTES ET RÉFÉRENCES[]

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  1. Paris, France | AN Y17.
  2. Henry Herlau, marchand bourgeois de Paris et l'un des conseillers de l'hôtel de la ville de Paris, et Anne Lourdet, sa femme, demeurant à Paris, rue et paroisse S.-Germain-l'Auxerrois : confirmation de donation mutuelle (1679).
  3. Henry Herlau, marchand bourgeois de Paris et l'un des conseillers de l'hôtel de la ville de Paris, et Anne Lourdet, sa femme, demeurant à Paris, rue et paroisse S.-Germain-l'Auxerrois : confirmation de donation mutuelle (1679).
  4. Bulletin de la Société de l'Histoire de l'Art Français, 1877.
  5. Bulletin de la Société de l'histoire de l'art français, Centre national de la recherche scientifique (France), Éditeur F. de Nobele, 1996.
  6. Armorial de la France : 1875, Volume 2, Louis de Magny, Arch. de la Noblesce, 1875.
  7. Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, Volume 16, André F. Borel d'Hauterive, Albert Révérend, Champion, 1859.
  8. Annuaire-bulletin de la Société de l'histoire de France : 1932.
  9. Collection de documents inédits sur l'histoire de France, Inscriptions de la France du Ve siècle au XVIIIe, Ferdinand baron de Guilhermy, Volume 5, Ferdinand baron de Guilhermy, Robert de Lasteyrie. Imprimerie nationale, 1873.
  10. Bulletin de la Société de l'histoire de l'art français, Centre national de la recherche scientifique (France), Éditeur F. de Nobele, 1996.
  11. Henry Herlau, marchand bourgeois de Paris et l'un des conseillers de l'hôtel de la ville de Paris, et Anne Lourdet, sa femme, demeurant à Paris, rue et paroisse S.-Germain-l'Auxerrois : confirmation de donation mutuelle (1679).
  12. [https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/rechercheconsultation/consultation/ir/pdfIR.action?irId=FRAN_IR_003584 Collection d'Hozier, Chérin et Saint-Allais. Seconde série alphabétique (1339-1817).]
  13. Bulletin de la Société de l'Histoire de l'Art Français, 1877.
  14. 01 39 fol 298 v° & Noms et blasons des Échevins de la ville de Paris, 1411 – 1789.
  15. Collection de documents pour servir à l'histoire des hôpitaux de Paris: Commencée sous les auspices de M.Michel Möring, Administration générale de l'assistance publique à Paris. Léon Brièle. Impr. nationale, 1887.
  16. Essai historique sur l'Hôtel-Dieu de Paris Ou tableau chronologique de sa fondation et de ses accroissemens successifs, des reglemens qui y ont maintenu en vigueur la discipline, l'administration spirituelle et temporelle, et la police, ... Rondonneau de la Motte, Éditeur Nyon, 1787.
  17. Essai historique sur l'Hôtel-Dieu de Paris Ou tableau chronologique de sa fondation et de ses accroissemens successifs, des reglemens qui y ont maintenu en vigueur la discipline, l'administration spirituelle et temporelle, et la police, ... Rondonneau de la Motte, Éditeur Nyon, 1787.
  18. Essai historique sur l'Hôtel-Dieu de Paris Ou tableau chronologique de sa fondation et de ses accroissemens successifs, des reglemens qui y ont maintenu en vigueur la discipline, l'administration spirituelle et temporelle, et la police, ... Rondonneau de la Motte, Éditeur Nyon, 1787.
  19. Essai historique sur l'Hôtel-Dieu de Paris Ou tableau chronologique de sa fondation et de ses accroissemens successifs, des reglemens qui y ont maintenu en vigueur la discipline, l'administration spirituelle et temporelle, et la police, ... Rondonneau de la Motte, Éditeur Nyon, 1787.
  20. Recueil contenant les édits et déclarations du roy sur l'établissement et confirmation de la juridiction des consuls en la ville de Paris. Éditeur Thierry, 1705.
  21. Bulletin de la Société de l'histoire de l'art français, Centre national de la recherche scientifique (France), Éditeur F. de Nobele, 1996.
  22. Simon Lourdet
  23. Recueil d'Armoiries des maisons nobles de France, Nicolas Jules Henri GOURDON DE GENOUILLAC, ÉditeurDentu, 1860.
  24. Encyclopédie historique, archéologique, biographique, chronologique et monogrammatique des beaux-arts plastiques, architecture et mosaïque, céramique, sculpture, peinture et gravure, Auguste Demmin. 1874.
  25. Paris, France | AN Y17.
  26. Bulletin de la Société de l'histoire de l'art français, Centre national de la recherche scientifique (France), Éditeur F. de Nobele, 1996.
  27. Histoire de la ville de Sceaux depuis son origine jusqu'à nos jours, Victor Advielle. Éditeur Delarue, 1889.
  28. Mercure de France, 1734.
  29. Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750). Tome I. Madeleine Jurgens. 1967.
  30. Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750). Tome I. Madeleine Jurgens. 1967.
  31. Documents du Minutier central concernant l'histoire de l'art (1700-1750). Tome I. Madeleine Jurgens. 1967.
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