Wiki Guy de Rambaud
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                                              Claude Leclerc de Pulligny

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Blason leclerc de pulligny

Son blason.

Claude Leclerc de Pulligny ou Claudin Leclerc de Pulligney, est né vers 1485 à Nancy. Il décède le 7 novembre 1562 à Nancy, au 27, rue de La Boudiere[1], et est inhumé dans la Chapelle de Sainte-Croix ou de Notre-Dame-de Pitié de la basilique Saint-Epvre de Nancy, fondée par lui et sa femme[2].

Du temps du duc Antoine de Lorraine (1508 à 1544), Claude est marchand de drap de soie et de drap de laine[3]. Il fournit la cour et reçoit des lettres d'anoblissement accordées par le duc Antoine de Lorraine à Claude le Clerc, fils de feu Mengin II Le Clerc et de Mengette sa femme, le 5 mai 1512[4]. Claude Leclerc est valet de chambre du duc Antoine, le 12 mars 1540[5].

Du temps du duc Charles III de Lorraine (1545 à 1608), valet de chambre du duc, Claude reçoit, le 9 février 1553, la première place de Conseiller et Auditeur à la Chambre des comptes. Il est voué de Saint-Nicolas du Port en 1554[6].

Ses biens sont importants. Du fait de son mariage avec Catherine de Treves, il peut richement doter ses quatre filles et laisser un héritage importants  à ses quatre fils.

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SA FAMILLE[]

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Blason jean le clerc

Blason des Le Clerc de Puligney en 1464.

Descendant de Mengin Le Clerc, petit-fils de Jehan Leclerc de Pulligney (ca 1410-1465)[7]. Il est le frère de Thierry Leclerc de Roville et fils de Mengin II Le Clerc (après 1461 - 1512) & de Mengette, sa femme. Thierry, comme cadet, brise d'une quintefeuille d'argent au franc canton de l’écu.

Leur mère devenue veuve confirme l'acquisition par elle d'un bois à Méréville (M.-et-M.), le 20 mai 1512[8].

Mengin II est l'arrière-grand-oncle de la sainte Alix Le Clerc et un ancêtre des Gondrecourt.

La famille Le Clerc est noble et ancienne, originaire de Lorraine. Selon les Mémoires de la Société archéologique de Touraine sa filiation suivie commence par Claude Le Clerc, écuyer, Sgr de Pulligny, en Lorraine, qui épouse, en 1530, Catherine de Trêves[9].

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Généalogie des premiers Le Clerc[]

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Mengin Le ClercCatherine de Gircourt
   │  
   ├── Colin Le ClercN Petitgout
      │  
      ├── Jacques Le Clerc, conseiller
      │  
      ├── Jehan Leclerc de PulligneyN de Pulligny ???
         │  
         ├── Nicole Le Clerc, prêtre
         │  
         ├── Mengin II Le ClercMengette N
            │  
            ├── Thierry Le Clerc de Roville[10].
            │  │  
            │  ├── Pierre Le Clerc de Roville[11].
            │  │  ∞ Alix de Billy
            │  │  │  
            │  │  ├── Marguerite Le Clerc[12].
            │  │     ∞ Nicolas de Gondrecourt, ambassadeur[13].
            │  │     │
            │  │     │     ... --> Descendance Gondrecourt... 
            │  │  
            │  ├── Demange Le Clerc
            │     │
            │     ├── Jean Le Clerc (1500-1602)
            │     │   ∞ Anne Sagay
            │     │   │
            │     │   ├── Alix Le Clerc
            │     │   │
            │     │   │   --> Père de six enfants[14].
            │  
            ├── Claude Leclerc de PullignyCatherine de Treves de Xirocourt
               │
               │ --> Claudon Le Clerc 
               │    x 1546 Nicolas de Lescut de Saint Germain 
               │
               │ --> Barbe Le Clerc 
               │    x 1554 Jean de Lescut de Saint Germain[15].
               │    │
               │    │    ... --> Descendance de Rennel, de Rutant, de Bermand... 
               │
               │ --> Jean Le Clerc[16].
               │     x 1567 Élisabeth Champenois de Nogent[17].
               │
               │ --> Marie Le Clerc[18].
               │    x Nicolas Humbelot[19].
               │    │
               │    │    ... --> Descendance Humbelot...
               │
               │ --> Pierre Leclerc du Vivier
               │      x 1561 Anne Fériet de Varangéville 
               │
               │ --> Claude II Leclerc de Pulligny
               │      x (1) 1580 Claudon Galland de Pulligny[20].
               │      x (2) 1583 Claudon Mengin de Pulligny[21].


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BIOGRAPHIE[]

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Du temps du duc Antoine de Lorraine (1508 à 1544)[]

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Statue d'Antoine, duc de Lorraine.

Claude Leclerc de Pulligny est marchand[22], plus précisément marchand de drap de soie et de drap de laine[23].

Claude le Clerc a le privilège de vendre les draps de soie et de laine pour le duc et les officiers de la cour[24].

Il reçoit des lettres d'anoblissement accordées par le duc Antoine de Lorraine à Claude Le Clerc, fils de feu Mengin II Le Clerc et de Mengette sa femme, le 5 mai 1512[25]. Les Le Clerc portent désormais : D'or, au léopard de gueules, armé, lampassé couronné d'azur, au chef de même chargé de trois besans d'or[26].

Leclerc est valet de chambre du duc Antoine le 12 mars 1540[27]. Le duc souffre de la goutte dès 1538.

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Du temps du duc Charles III de Lorraine (1545 à 1608)[]

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Acl1

Statue du duc Charles III de Lorraine, œuvre de Giorné Viard.

Valet de chambre du duc, Claude reçoit, le 9 février 1553, la première place de conseiller et auditeur à la Chambre des comptes, qui viendra à vaquer après celle promise à Christophe Didelot. Il remplace Gaspard de Beurges, son beau-frère, conseiller et auditeur à la Chambre des comptes et Christophe Didelot[28].

Nicolas de Lescut, comte, l'un de ses gendres, est envoyé par le duc Antoine, près de l'empereur, en 1542, avec Dominique Champenois, père de l'une de ses brus, pour les négociations du traité de Nuremberg[29]. Le comte obtient l'indépendance du duché de Lorraine vis-à-vis du Saint-Empire.

Claude est voué de Saint-Nicolas du Port, en 1554[30].

Claude Le Clerc est valet de chambre de Charles III, en 1562.

L'un de ses fils, Claude II Leclerc de Pulligny, est argentier du duc de Lorraine. Ses fils et gendres vont être les créanciers des ducs, comme les Feriet et les Treves avant eux[31].


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Ses biens[]

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Acl3

Rue de La Boudiere (Rue-Grande de nos jours).

Acl4

Pulligny.

Il résulte des procès-verbaux de Pierre Leclerc du Vivier, comme poursuivant d'armes que la famille Le Clerc doit être une des plus considérables de la haute bourgeoisie de Nancy non seulement elle y a une maison qu'elle a décorée de ses armoiries, mais elle possède le fief de Pulligny. Elle a même sa chapelle à Saint-Evre[32].

Dans le Premier compte que rendent Girard Oudet et Adam de Bazien... tant en recepte comme en despence des deniers par culx receuz des mannans et habitons dudict Nancy et faulbourg Sainct Nicolas pour la solde et payemens des mortepayes ordonnez à la garde des portes et guetz dudict Nancy de l'ordonnance de Madame et Monseigneur de Vaudemont, et ce pour les moys de decembre, janvier, febvrier et mars mil cinq cens cinquante ung, apvril, may, juing, juillet, aoust, septembre, octobre, novembre et decembre mil cinq cens cinquante deux, que sont treize moys, à raison de trois gros par moys comme sensuyt... nous apprenons qu'il doit donc trois francs et trois gros et a sa maison rue de La Boudiere, en 1552[33]. On a même le numéro : le 27[34].

L'origine de la Grande-rue remonte au début du XIVe siècle, quand Le duc Ferri III transfère son château à cet endroit[35]. Cette Grande-Rue a par le passé de la place des Maréchaux jusqu'à la petite Carrière, le nom de rue de la Boudière.

Claude Leclerc de Pulligny est écuyer, seigneur en partie de Pulligny, Ceintrey (1562), Voinemont, Malaucout, Chamagne[36]. Sa femme est dame de Xirocourt, d'Erizé, Saint-Dizier et des deux Marasses[37]. Claude est aussi seigneur de Pulnoy (Nancy sud)[38]. Il reprend des terres en fief venant de l'héritage de son beau-frère Jean de Trèves, le 16 septembre 1550[39].

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MARIAGE ET DESCENDANCE[]

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Claude Leclerc devait quant à lui sa situation de privilégié à son père, Mengin, anobli le 1[40] mars 1512. Catherine de Trêves, son épouse — sans doute n'est-ce pas un hasard — appartenait aussi à une famille de noblesse récente[41].

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Sa belle-famille[]

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Treves gilles de

Son beau-frère, Gilles de Trèves (1515-1582).

Blason beurges

Blason des Beurges.

Claude épouse Catherine de Tre[s]ves et en 1530[42]. Noble Catherine de Trêves est fille de Pierre de Trêves, anobli en 1509, et de Barbe de Véel[43].

Noble demoiselle Catherine de Treves, femme de Claude Le Clerc, seigneur de Pulligny en partie, avec qui il vit en 1557, dame de Xirocourt, d'Erize-Saint-Dizier et des deux Marasses[44].

Elle est veuve et habite toujours au 27, rue de La Boudiere[45], en 1572.


  • Catherine est la sœur de Jean de Trèves (1510-1550), qui fait le voyage de Jérusalem, en 1538, et hérite de Jeanne de Veel, veuve de Vaultrin Errard, de Bar, sa tante, morte en 1546. Claude Le Clerc hérite de lui après son décès, le 16 septembre 1550, à Nancy[46].


  • Catherine est la sœur de Gilles de Trèves (1515-1582), seigneur de Cummenières et Xirocourt, Gilles de Trèves est nommé chanoine de la collégiale Saint-Maxe en 1537. Il devient doyen du chapitre la même année. En 1555, il y fait bâtir la chapelle de l'Annonciation (ou chapelle des Princes). Selon Michel de Montaigne, Gilles de Trèves possède une grande fortune lui permettant de prêter d'importantes sommes d'argent au duc Antoine de Lorraine. Il doit sa fortune à des héritages successifs. Il aménage son château sur sa terre de Ville-sur-Saulx, château dont la construction commence en 1533. Gilles de Trèves fait également aménager un parc sur les bords de la Saulx.


  • Catherine est la belle-sœur de Gaspard de Beurges, sgr. de Remicourt et d'Houdemont, époux de Marie de Trêves (1520-1594) , décédée en 1594. Nommé conseiller et auditeur à la Chambre des comptes, le 8 février 1551, à la place de son père. A son décès, il est remplacé par Christophe Didelot, puis par Claude Leclerc, en 1553[47].

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Leurs enfants[]

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Chrétienne

Christine Leclerc du Vivier, fille de Pierre.

BLASON FERIET

Blason des Feriet.

Blason mengin

Blason des Mengin.

Nicolas de Lescut

Nicolai de Lescut "De testium examinatione" tractatus

Blason lescut

Blason des Lescut.

Abbaye saint-thierry

Abbaye de Saint-Thierry (Reims)

Blason champenois

Blason des Champenois.

Blason Humbelot

Blason Humbelot.

Pierre Le Clerc, Jean Le Clerc, Claude II Leclerc, Mengin III Le Clerc, abbé de Saint Thierry, avec quattre leurs sœurs sont enfans de Claudin Le Clerc en son vivant marchand de soye et draps de laine lequel fut annobli le premier de mars 1512[48].

Claude le Clerc, seigneur d'Erize, Saint-Dizier et Pulligny : extrait du partage de sa succession, entre Mengin III Le Clerc, abbé, Pierre Leclerc du Vivier, Jean le Clerc, conseiller, Claudon le Clerc, veuve de Nicolas de Lescut, Barbe le Clerc, veuve de Jean de Lescus, Nicolas Humbelot, époux de Marie le Clerc, tous enfants de feu Claude Le Clerc et Catherine de Tresves (16 septembre 1585).


  • Pierre Leclerc du Vivier (1530-1597) est conseiller et surintendant des finances du cardinal Charles de Lorraine (1567-1607) et du duc Philippe-Emmanuel de Lorraine (1558-1602). Il est aussi conseiller du roi de France, trésorier général de Bretagne, et à la fin de vie il est pourvu de l'office de général des finances, avec la connaissance et administration des finances. Le 26 septembre 1561, Pierre Leclerc du Vivier se marie à Saint-Nicolas-de-Port avec Anne Fériet de Varangéville (1540 - 1612). Anne Fériet est la fille de Gergeonne Fériet de Pulligny (1498-1574), voué de Lay-Saint-Christophe, seigneur de Pulligny, Ceintrey et Voinémont. Sa mère, Isabelle de Beurges (1510-1557), est elle-même la fille du seigneur d'Aingeray, Sivry, Rémicourt, Villers, Houdemont..., contrôleur général des finances des duchés de Lorraine et de Bar, par provision du 12 avril 1583.


  • Claude II Leclerc de Pulligny (1532 - 1598) épouse vers 1540 Claudon Gallant (1552-1582), fille de Mengin (1520-1580), coseigneur de Puligny et de Françoise du Gaillard. Veuf sans enfant il se remarie à Claudon Mengin de Pulligny, d'ancienne noblesse qui tire son origine de la Lorraine allemande, où est située la baronnie de Mengin ou de Menghen , sur la Sarre, dont les barons ont été reconnus chevaliers libres dès le XII[49] siècle. Elle est la fille de Claude Mengin, capitaine dans les bandes de Piémont, qui entre au service de la France après le décès de sa première femme. Catherine Ailhaud, sa mère, est fille de Thomas Ailhaud, gentilhomme du prince de Piémont, duc de Savoie. Il est par la suite capitaine au service de France dans les bandes noires de Piémont. Thomas est le descendant de Guy Ailhaud, qui s'attache aux Princes de Savoye. De lui descent au troisième degré Thomas Ailhaud, Gentilhomme du Prince de Piémont, Duc de Savoye qui est père de Catherine Ailhaud, mariée, par contrat du 15 juin 1549, à Jean Mengin, II[50]} du nom, écuyer.


  • Nicolas de Lescut, comte, frère du précédent, seigneur de Saint-Germain, reçoit, le 20 mai 1544, de Charles-Quint, des lettres de comte palatin du palais de Latran et de sa cour impériale. Il épouse, en 1546, Claudon Le Clerc (1534-1603), fille de Claude, et de Catherine de Trêves. Inscrit à l'Université d'Heidelberg le 10 mai 1602, conseiller et secrétaire ordinaire, envoyé par le duc Antoine, le 14 février 1541, à Spire, pour défendre la souveraineté du duché de Lorraine ; puis, près de l'empereur, en 1542, avec Dominique Champenois pour les négociations du traité de Nuremberg, reçoit, le 20 mai 1552, la première ou seconde place et office d'auditeur en la Chambre des comptes de Lorraine[51]. On a la fondation d'une messe perpétuelle dans l'église Saint-Georges de Nancy, pour le repos de l'âme de Nicolas de l'Escuts, seigneur de Saint-Germain, Conseiller d'Etat, par Claude le Clerc sa veuve, assistée de Thiery, Alix et Jean le Clerc, le 30 décembre 1581.


Nicolai de Lescut De testium examinatione tractatus.


  • Jean de Lescut, frère du précédent, fils de Louis, anobli le 6 septembre 1516, et d'Isabillon Guérin, seigneur de Pixerécourt, se remarie le 21 octobre 1554, avec Barbe Le Clerc de Communieres (1636 - 1697). Il est lieutenant général du bailliage de Nancy, et le 5 mai 1563, conseiller et auditeur à la Chambre des comptes[52]. Ils sont les parents de Barbe de Lescut (1558 - 1637) mariée à Balthazar de Rennel (1554-1637), Conseiller d'Etat de Charles IV, Président de la Chambre des Comptes de Lorraine. Claude de Lescut est mariée à Jacob de Rutant, président de la Cour des grands jours de Saint-Mihiel, auquel Le duc Henri donne, le 5 juillet 1621, la terre et seigneurie de Pixerécourt. Elisabeth de Lescut est mariée à Antoine de Bermand.


  • Mengin Leclerc (1537-1598), d'abord valet de chambre du duc, nommé valet de chambre ordinaire du duc le 10 septembre 1556[53] est abbé de Saint-Thiéry au Mont-d'Or-lès-Reims[54].
  • Jean Le Clerc (1540 - 1583/1598) épouse, en 1567, Elisabeth Champenois. Son beau-père, Gérard, seigneur de Silloncourt, épouse, en 1533, Jeanne de l'Épée, fille de Démange, gouverneur de la saline de Marsal et d'Agnès Boucher. Gérard Champenois est Conseiller secrétaire, intendant des salines. Il est nommé conseiller et auditeur à la Chambre des comptes de Lorraine, le 2 septembre. 1538. C'est un membre de l'illustre famille des Champenois de Nogent de Neuflotte. Sa femme est la descendante de Wambert de Soissons, comte de Chaumont, baron de Nogent, marié en 1243 julien avec Sophie de Rynel. Le 12 février 1543, le duc Antoine engage à messire Gérard Champenois le gagnage de Villers, prés Vézelise, pour la somme de 4.000 francs[55]. Argentier de Charles III de Lorraine (1543-1608), valet de chambre de la duchesse de Lorraine, son beau-père est nommé, le 1er janvier 1578, conseiller et auditeur à la Chambre des comptes[56]. Sa veuve est créancière du duc de Lorraine, qui lui constitue une rente de 367 francs, en plus de celle de 1607 qu'elle perçoit déjà de concert avec son frère, assignée comme la première sur la recette du comté de Vaudémont. Elle se remarie avec Georges de Chastenois, secrétaire de haut et puissant prince le duc de Lorraine.


  • Nicolas Humbelot est anobli par le duc de Lorraine, le 23 février 1564, pour services militaires. Il est seigneur de Sergueux et Langres en Champagne, bailli de Chatillon-sur-Seine. Sa femme est Marie Le Clerc (1541-après 1583), sœur des précédents. Il est allié par elle à diverses bonnes maisons de Paris. Il porte : d'azur, à une fasce ondée d'argent. Leur fils, Claude Humbelot, chevalier de l'Ordre, est exempt des gardes et gentilshommes de la Chambre, en 1650.


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LES FRESQUES DE L'ÉGLISE DES CORDELIERS[]

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Acl7

L'église des Cordeliers.

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L'église des Cordeliers : chapelle funéraire des ducs de Lorraine.

Blason treves

Blason des Treves.

AAleclercjean5

Baie 13. Vitrail de l'église des Cordeliers offert par Catherine de Trèves et Claude Leclerc. 2e quart du XVIe siècle[57].

G. Save, dans son intéressant article sur Les fresques de l'église des Cordeliers[58] signale, dans la première chapelle à droite, contre le mur de la façade, une figure peinte en camaïeu gris, portant un blason assez effacé où l'on croit distinguer un Écartelé aux 1 et 4, d'or au triangle de gueules en abîme, accompagné de trois croissants d'azur, 2 et l aux 2 et 3, d'or à trois fleurs de lis de sable. La seconde figure, également en camaïeu gris, porte un écusson Écartelé aux 1 et 4, d'or au léopard de gueules, au chef d'azur à : 3 besans d'or; aux 2 et 3, d'or au triangle de gueules en abîme, accompagné de trois croissants d'azur, 2 et 1.

Plus loin, l'auteur ajoute :

Ces armes, répétées sur les murs et dans les vitraux des Cordeliers, doivent appartenir à un important bienfaiteur de cette église, qui avait sans doute réservé sa sépulture dans la chapelle des Rois[59].

Le premier écusson décrit par G. Save est presque entièrement effacé. On y découvre cependant les armes qu'il mentionne aux quartiers 1 et 4. Il semble toutefois que ces armes occupent les quartiers 1 et 3. Quant aux deux autres le léopard est armé, lampassé et couronné d'azur, ainsi que le dit Don Pelletier. Je ne pense pas qu'ils soient D'or à trois fleurs de lis de sable. Je serais plutôt disposé à croire que les deux écoinçons portent des écussons identiques.

L'écoinçon de droite est orné des mêmes armes que celui de gauche, c'est-à-dire Écartelé aux 1 et 4, d'or au léopard de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur, au chef de même à trois besans d'or au l et 3, d'or au triangle de gueules, accompagné de trois croissants d'azur, 2 et 1. Après coup, on aura peint par dessus les armes de droite un nouvel écusson qui semble Écartelé aux 1 et 4, de sable à... aux 2 et 3, d'argent semé de fleurs de lys de sable. Les lavages successifs rendent ces armes à peu près illisibles et font reparaître la peinture du dessous, et les deux écus superposés se confondent actuellement[60].

Je n'ai pu déterminer à quelle famille peuvent appartenir les armes que je crois avoir été substituées aux armes primitives. Mais le fait même d'une substitution ne parait pas invraisemblable quand on voit combien de familles briguent l'honneur d'avoir leur sépulture aux Cordeliers. Dans cette même chapelle des Rois, les Janin et les Chatenoy font poser, au milieu du XVII[61] siècle, une luxueuse épitaphe ornée de leurs quartiers.

Les armes signalées par Save sur l'écoinçon de gauche et qui, suivant moi, doivent être originairement reproduites sur celui de droite, sont celles de Pierre Leclerc du Vivier, fils de Claudin Le Clerc et de Catherine de Trèves. Claude Le Clerc de Pulligny est marchand de drap de soie et de drap de laine, à Nancy, quand il estt anobli par le duc Antoine, le 1[62] mars 1512. Sa femme, Catherine de Trèves, était fille de Pierre de Trèves, tailleur et valet de chambre du duc Antoine, anobli le 13 octobre 1509; elle est sœur de Gilles de Trèves, le célèbre doyen de Saint-Maxe, mort en 1581, le dernier mâle de sa famille.

Du mariage de Claudin Le Clerc et de Catherine de Trèves naissent huit enfants, entre autres Pierre Leclerc du Vivier qui n'attend pas le décès de son oncle pour relever, de sa propre autorité, les armes de sa mère et en écarteler les siennes[63].

Didier Richier ne manque pas de signaler cette usurpation, et il ajoute qu'il fait peindre et poser ses armes, ainsi écartelées, en divers lieux, « ce qui ne se peult faire à nulles d'escarteller armoiries sans la permission du prince. Il résulte des procès-verbaux du poursuivant d'armes que la famille Le Clerc doit être une des plus considérables de la haute bourgeoisie de Nancy non seulement elle y a une maison qu'elle a décorée de ses armoiries, mais elle possède fief à Pulligny. Elle avait même sa chapelle à Saint-Evre, à droite de la chapelle Sainte-Barbe et sur le l'étable de l'autel, dit Richier, elle a fait sculpter ses armes, entourées d'un chapeau de triomphe.

D'après Lionnois, on voie du temps de l'ancienne église Saint-Evre, au pilier de la chaire à prêcher, une niche ornée d'un ordre d'architecture surmonté de deux écus accolés, soutenus par deux génies. Ces écus sont aux armes des Le Clerc et des Trèves. Dans la niche, un ange présente une table dorée portant un sonnet sur le trépas de Claude Le Clerc, décédé le 7 novembre 1569, et de Catherine de Trèves, sa femme, morte le 24 juin 1581, fondateurs de la chapelle de Sainte-Croix. Lionnois donne le texte du sonnet, il n'est ni meilleur ni pire que les nombreuses productions du même genre[64].

Au registre inférieur de la baie 13 (vitrail), on lit sans difficulté les armes de Catherine de Trêves (22) et de son mari Claude Leclerc de Nancy, mort en 1557 (23) (fig. 9). Un médaillon contenant un buste de soldat antique occupe le registre inférieur de la lancette de droite. En revanche, le thème de la scène principale est très difficile à identifier. On y distingue, sur une estrade, un personnage âgé coiffé d'un turban et portant une sorte de sceptre ; un vieillard se tient près de lui, tandis que deux soldats menacent un personnage nimbé ; s'agirait-il du Christ paraissant devant Caïphe ? Des coquilles, bustes et médaillons couronnent l'ensemble[65].

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Sa chapelle[]

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Acl

Ancienne basilique Saint-Epvre (1436-1864).

Alix le clerc

La sainte Alix Le Clerc (1576-1622), sa parente.

On admire encore dans l'église Saint-Epvre, entre autres le tombeau de Claude Leclerc, décrit avec assez de soin par Lionnais[66]. Hélas une basilique est reconstruite à la place. Donc la chapelle de Sainte-Croix ou de Notre-Dame de Pitié (derrière la stalle du sieur curé, laquelle devait être à peu près où est le banc-d'œuvre actuel), fondée par Claude le Clerc, seigneur d'Erize et de Pulligny en partie, et Catherine de Tresves, son épouse est détruite. On lisait sur leur tombeau le sonnet suivant :

Sonnet sur le trépas de feuz nobles conjoinctz Claude le Clerc, luy vivant Sr d'Erise et de Pulligny en partie, qui décéda le 7 novembre 1562, et Catherine de Tresves après ledit Sr son mari, le 24 juin 1581, fondateur de la chapelle de Ste Croix.


Reposez doucement vos ames généreuses,

A qui vostre vertu et vostre sainct honneur

Sert de bausme et parfum pour garder en odeur

Vos cendres et vos os sous les lames pouldreuses.

Longtemps dedans leurs corps vos ames vigoureuses

Tyrant le fil des ans, ontvesca en valleur,

Car il falloit de temps une grande longueur

Pour montrer l'infini de vos vertus heureuses.


Ainsy comme vos corps estoient chargés des ans,

Vos ames toutes ainsy des vertus et d'honneur

Ainsy ont démonstré les fruictz et le Bonheur

Qui tousjours décoraient leurs ages florissans.


Mais vos corps à la fin tant chargez de vertuz

Moururent soubz le poids et furent abbattus

Par vos ames hélas ! leur donnant estre et vie,

Au choix d'une meilleure en repos infinie.


Collateurs : les descendants des fondateurs. Charges : une messe par semaine. - Le revenu se tire sur un principal de 1.750 francs[67].

Claude le Clerc : description d'une épitaphe consacrée à Claude le Clerc, seigneur d'Erize et de Pulligny, et à Catherine de Trèves sa femme, dansl'église de Saint-Epvre de Nancy en une chapelle fondée par eux.


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NOTES ET REFERENCES[]

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  1. Journal de la Société d'archéologie et du Comité du Musée lorrain, 1897 (A46).
  2. Communes de la Meurthe, journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département, henri Lepage 1853.
  3. Journal de la Société d'archéologie et du Comité du Musée lorrain, 1897 (A46).
  4. Biographie de la Chambre des comptes de Lorraine...par le Cte A. de Mahuet, C. Poncelet, V. Berger (Nancy), 1914.
  5. Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Lettres-patentes de la minorité du duc Charles III (1546-1558), Volume 3 d Archives départementales de Meurthe-et-Moselle, Etienne Delcambre, Les Archives, 1952.
  6. Dictionnaire de la noblesse ... de France, François Alexandre Aubert de la Chenaye Desbois, 1774.
  7. Nobiliaire de la Lorraine et du Barrois, de Ambroise Pelletier, Félix Collin de Paradis, Henri Lepage, Léon Germain de Maidy, Paul Lallemand - 1974 - page 459.
  8. Volume 2 de Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Lettres-patentes des ducs de Lorraine et de Barrois, Archives départementales de Meurthe-et-Moselle, Etienne Delcambre, Les Archives, 1951.
  9. Mémoires de la Société archéologique de Touraine, Volume 18.
  10. Il est anobli par le duc Antoine de Lorraine le Modèle:1er mars 1512 avec son frère Thierry et ils portent d'or au léopard de gueule, armé, lampassé et couronné d'azur au chef de même chargé de trois besants d'or. Société d'archéologie lorraine. Mémoires de la 1893 (SER3, VOL21 = T43), p.103.
  11. Ce fief de Roville est situé à proximité d'Épinal .
  12. Marraine en 1606, Nobiliaire de Saint-Mihiel de Dumont, 1864, page 217, mariage Dictionnaire de la noblesse contenant les généalogies, l'histoire & la ... de François-Alexandre de La Chenaye-Aubert|La Chesnaye-Desbois]], Badier, 1774- page 278.
  13. Avocat à Saint-Mihiel. Conseiller à la Cour des Grands Jours. Président des Grands Jours de Commercy en 1633. Conseiller d'État de Lorraine et ambassadeur à Mayence, fils d'un conseiller d'État sous le duc Charles III, il est envoyé en Espagne en 1606. D'après François-Alexandre de La Chenaye-Aubert, il est le 8Modèle:Exp degré issu de Humblet de Gondrecourt, administrateur des finances de Robert, comte de Bar, conseiller des États du Barrois en 1358 et décédé en 1360.
  14. Ascendant des familles Vaudré et Puis, banquiers d’Épinal, de Gironcourt, de Saint-Haouen, de Sury-Apemont, de Villentroys, Bastien, Delsart, Collet, Fefvrel... (Renard Edmond, La Mère Alix Le Clerc... , p.6n.)
  15. Vice-bailli de Nancy, Tabellion à Nancy et Lieutenant de bailli, comte du Saint-Empire romain germanique, seigneur de Pixéricourt et de Malzéville.
  16. Argentier de Charles III de Lorraine (1543-1608), conseiller, auditeur en la Chambre des Comptes de Lorraine. Bulletin de la Société d'archéologie lorraine, de Société d'archéologie lorraine - 1855, p.249.
  17. Créancière du duc qui lui constitue une rente de 367 écus (en plus de celle de 1607 qu'elle perçoit déjà de concert avec son frère), assignée comme la première sur la recette du comté de Vaudémont. Nobiliaire de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier ; préf. d'Otto de Habsbourg-Lorraine ; introd. de Jacques Choux, Paris : Éditions du Palais royal. Descendante de Wambert de Soissons, comte de Chaumont, baron de Nogent, marié en 1243 julien avec Sophie de Rynel.
  18. Jean Le Clerc est allié par elle à diverses bonnes maisons de Paris.
  19. Son père est écuyer et seigneur de Sergueux et Langres en Champagne. Nicolas est bailli de Châtillon-sur-Seine. Il est anobli par lettres de noblesse de Charles III de Lorraine, le 23 février 1565. Source : François-Alexandre de La Chenaye-Aubert.
  20. Inhumée nef de l’église de Pulligny, fille de Mengin et Françoise du Gaillard. Société d'archéologie lorraine. Mémoires de la 1893 (SER3, VOL21 = T43), p.103.
  21. Il s’agit de deux personnes totalement différentes. La 1re Claudon est morte selon sa plaque mortuaire en 1582. Jean Le Clerc naît en 1587. Cette deuxième femme est la descendante d’une famille d’ancienne noblesse qui tire son origine de la Lorraine allemande, où est située la baronnie de Mengin ou de Menghen, sur la Sarre, dont les barons sont reconnus chevaliers libres dès le XIIe siècle. Son père est capitaine dans les bandes de Piémont. Elle reste attachée à la religion catholique après la conversion de son mari.
  22. Livre de la recherche et du recueil des nobles du Duché de Lorraine: Bibliothèque Municipale de Nancy, manuscrit 1362; Bibliothèque Municipale de Metz, manuscrit 1307, Didier Richier, Eyraud 2009.
  23. Journal de la Société d'archéologie et du Comité du Musée lorrain, 1897 (A46).
  24. Journal de la Société d'archéologie et du comité du Musée lorrain, 1853.
  25. Biographie de la Chambre des comptes de Lorraine...par le Cte A. de Mahuet, C. Poncelet, V. Berger (Nancy), 1914.
  26. Société d'archéologie lorraine. Mémoires de la 1893 (SER3,VOL21 = T43), p.103.
  27. Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Lettres-patentes de la minorité du duc Charles III (1546-1558), Volume 3 d Archives départementales de Meurthe-et-Moselle, Etienne Delcambre, Les Archives, 1952.
  28. Biographie de la Chambre des comptes de Lorraine... Mahuet, Antoine de (1866-19..), C. Poncelet, V. Berger (Nancy), 1914.
  29. Biographie de la Chambre des comptes de Lorraine.... Mahuet, Antoine de (1866-19..), C. Poncelet, V. Berger (Nancy), 1914.
  30. Dictionnaire de la noblesse ... de France, François Alexandre Aubert de la Chenaye Desbois, 1774.
  31. L’Intermédiaire des Chercheurs et Curieux, Volume 20? 1970.
  32. Journal de la Société d'archéologie et du Comité du Musée lorrain, 1897 (A46).
  33. Journal de la Société d'archéologie et du comité du Musée lorrain, 1853.
  34. Mémoires de la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, Volume 65, 1922.
  35. Dictionnaire des rues de Nancy, Editions Jean-Marie Cuny - Jean de Cousance éditeur, 2001.
  36. Dictionnaire de la noblesse ... de France, François Alexandre Aubert de la Chenaye Desbois, 1774.
  37. Dictionnaire de la noblesse ... de France, François Alexandre Aubert de la Chenaye Desbois, 1774.
  38. Biographie de la Chambre des comptes de Lorraine...par le Cte A. de Mahuet, C. Poncelet, V. Berger (Nancy), 1914.
  39. Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 : Lettres-patentes de la minorité du duc Charles III (1546-1558), Volume 3, Etienne Delcambre, Les Archives, 1952.
  40. er
  41. Hérold Michel. Les vitraux disparus de l'église des Cordeliers de Nancy. In: Bulletin Monumental, tome 142, n°2, année 1984. pp. 159-172
  42. Mémoires de la Société archéologique de Touraine, Volume 18.
  43. Biographie de la Chambre des comptes de Lorraine... Mahuet, Antoine de (1866-19..), C. Poncelet, V. Berger (Nancy), 1914.
  44. Dictionnaire de la noblesse ... de France, François Alexandre Aubert de la Chenaye Desbois, 1774.
  45. Journal de la Société d'archéologie et du Comité du Musée lorrain, 1897 (A46).
  46. Nobiliaire de la Lorraine et du Barrois, de Ambroise Pelletier, Félix Collin de Paradis, Henri Lepage, Léon Germain de Maidy, Paul Lallemand - 1974.
  47. Biographie de la Chambre des comptes de Lorraine... Mahuet, Antoine de (1866-19..), C. Poncelet, V. Berger (Nancy), 1914.
  48. Livre de la recherche et du recueil des nobles du Duché de Lorraine: Bibliothèque Municipale de Nancy, manuscrit 1362; Bibliothèque Municipale de Metz, manuscrit 1307, Didier Richier, Eyraud éditeur, 2009.
  49. e
  50. e
  51. Biographie de la Chambre des comptes de Lorraine.... Mahuet, Antoine de (1866-19..), C. Poncelet, V. Berger (Nancy), 1914.
  52. Biographie de la Chambre des comptes de Lorraine.... Mahuet, Antoine de (1866-19..), C. Poncelet, V. Berger (Nancy), 1914.
  53. Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Lettres-patentes de la minorité du duc Charles III (1546-1558), Volume 3 de Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Lettres-patentes des ducs de Lorraine et de Barrois, Archives départementales de Meurthe-et-Moselle, Etienne Delcambre, Les Archives, 1952.
  54. Annuaire bulletin, p.88, de Société des amis du vieux Reims, Reims - 1929.
  55. Nobiliaire de la Lorraine et du Barrois / Ambroise Pelletier ; préf. d'Otto de Habsbourg-Lorraine ; introd. de Jacques Choux Paris : Éditions du Palais royal.
  56. Biographie de la Chambre des comptes de Lorraine... Mahuet, Antoine de (1866-19..), C. Poncelet, V. Berger (Nancy), 1914.
  57. Hérold Michel. Les vitraux disparus de l'église des Cordeliers de Nancy. In: Bulletin Monumental, tome 142, n°2, année 1984. pp. 159-172
  58. Journal de la Société, 1897, p. 12.
  59. Journal de la Société d'archéologie et du Comité du Musée lorrain, 1897 (A46).
  60. Journal de la Société d'archéologie et du Comité du Musée lorrain, 1897 (A46).
  61. e
  62. er
  63. Journal de la Société d'archéologie et du Comité du Musée lorrain, 1897 (A46).
  64. Journal de la Société d'archéologie et du Comité du Musée lorrain, 1897 (A46).
  65. Hérold Michel. Les vitraux disparus de l'église des Cordeliers de Nancy. In: Bulletin Monumental, tome 142, n°2, année 1984. pp. 159-172.
  66. basilique Saint-Epvre
  67.  Mémoires de la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, Volume 5, 1855.



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